Histoire de l'église de France pendant la révolution, ÇáãÌáÏ 3H. Goemaere, 1853 |
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ÇáÕÝÍÉ 10
... religion n'y trouva aucun défenseur . Les ministres de Dieu sont livrés au mépris , maltraités ; et s'ils trouvent encore quelques voix en leur faveur , c'est parmi les hommes modérés qui avaient conservé un reste de tolérance ...
... religion n'y trouva aucun défenseur . Les ministres de Dieu sont livrés au mépris , maltraités ; et s'ils trouvent encore quelques voix en leur faveur , c'est parmi les hommes modérés qui avaient conservé un reste de tolérance ...
ÇáÕÝÍÉ 12
... religion autant que possible . Un autre représentant , Monteze , s'emporta aussi contre les prêtres réfractaires , et demanda des mesures rigoureuses . Comme Lejosne , il ne voulait pas qu'on les poursuivît devant les tribu- naux ; ce ...
... religion autant que possible . Un autre représentant , Monteze , s'emporta aussi contre les prêtres réfractaires , et demanda des mesures rigoureuses . Comme Lejosne , il ne voulait pas qu'on les poursuivît devant les tribu- naux ; ce ...
ÇáÕÝÍÉ 13
... religion ou à ses ministres , plaidèrent chaudement la cause de la tolérance phi- losophique . Le député Baert indiqua la vraie cause de l'acquitte- ment des prêtres devant les tribunaux . « On les acquitte , dit - il , parce qu'ils ne ...
... religion ou à ses ministres , plaidèrent chaudement la cause de la tolérance phi- losophique . Le député Baert indiqua la vraie cause de l'acquitte- ment des prêtres devant les tribunaux . « On les acquitte , dit - il , parce qu'ils ne ...
ÇáÕÝÍÉ 14
... religion , c'est- à - dire qu'elle a eu l'idée de faire un clergé après en avoir détruit un autre . Qu'importe qu'une religion diffère d'une autre ? Est - ce à l'Assemblée nationale à réunir les sectes divisées et à peser leurs ...
... religion , c'est- à - dire qu'elle a eu l'idée de faire un clergé après en avoir détruit un autre . Qu'importe qu'une religion diffère d'une autre ? Est - ce à l'Assemblée nationale à réunir les sectes divisées et à peser leurs ...
ÇáÕÝÍÉ 15
... religion , s'écrie - t - il , c'est la plus grande des impiétés elle est intolérable , puisqu'elle tend à la dissolu- tion du corps social , et qu'elle ferait du genre humain un trou- peau de bêtes féroces . Le fanatisme ( la religion ) ...
... religion , s'écrie - t - il , c'est la plus grande des impiétés elle est intolérable , puisqu'elle tend à la dissolu- tion du corps social , et qu'elle ferait du genre humain un trou- peau de bêtes féroces . Le fanatisme ( la religion ) ...
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ÇáÕÝÍÉ 386 - Hier... fut un jour sur les événements duquel- il « faut peut-être laisser un voile; je sais que le peuple, « terrible dans sa vengeance, y porte encore une sorte « de justice : il ne prend pas pour victime tout ce qui « se présente à sa fureur, il la dirige sur ceux qu'il « croit avoir été trop longtemps épargnés par le glaive « de la loi, et que le péril des circonstances lui per« suade devoir être immolés sans délai.þ
ÇáÕÝÍÉ 38 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.þ
ÇáÕÝÍÉ 104 - De cette tribune où je vous parle, on aperçoit le palais où des conseillers pervers égarent et trompent le roi que la constitution nous a donné, forgent les fers dont ils veulent nous enchaîner, et préparent les manœuvres qui doivent nous livrer à la maison d'Autriche. Je vois les fenêtres du palais où l'on trame la contre-révolution, où l'on combine les moyens de nous replonger dans les horreurs de l'esclavage...þ
ÇáÕÝÍÉ 175 - Legendre ; écoutez-nous, vous êtes « fait pour nous écouter... Vous êtes un perfide. Vous nous « avez toujours trompés, vous nous trompez encore. Mais « prenez garde à vous : la mesure est à son comble , et le « peuple est las de se voir votre jouet.þ
ÇáÕÝÍÉ 158 - ... répandu l'effroi dans Paris, la division et la stupeur dans ses environs, toute la France se lèverait avec indignation ; et se déchirant elle-même dans les horreurs d'une guerre civile, développerait cette sombre énergie, mère des vertus et des crimes, toujours funeste à ceux qui l'ont provoquée. « Le salut de l'État et le bonheur de Votre Majesté sont intimement liés ; aucune puissance n'est capable de les séparer...þ
ÇáÕÝÍÉ 158 - Il n'est plus temps de reculer, il n'ya même plus moyen de temporiser. La Révolution est faite dans les esprits : elle s'achèvera au prix du sang et sera cimentée par lui, si la sagesse ne prévient pas les malheurs qu'il est encore possible d'éviter.þ
ÇáÕÝÍÉ 256 - Messieurs, dit alors le roi, je suis venu ici pour éviter un grand crime, et je pense que je ne saurais être plus en sûreté qu'au milieu de vous.þ
ÇáÕÝÍÉ 394 - ... l'Assemblée nationale la nécessité urgente de s'unir au peuple , et de rendre à la Commune , par le rapport du décret de destitution , les pouvoirs dont elle l'avait investie.þ
ÇáÕÝÍÉ 294 - Tous les ecclésiastiques qui, étant assujettis au serment prescrit par la loi du 26 décembre 1790 et celle du 17 avril 1791, ne l'ont pas prêté, ou qui, après l'avoir prêté, l'ont rétracté, et ont persisté dans leur rétractation, seront tenus de sortir, sous huit jours, des limites du district et du département de leur résidence, et dans quinzaine, hors du royaume.þ
ÇáÕÝÍÉ 334 - J'instruis les sourds et muets de naissance, et, «comme le nombre de ces infortunés est plus grand chez les « pauvres que chez les riches, je suis plus à vous qu'aux riches.þ