Œuvres complètes de F. de La Mennais, ÇáãÌáÏ 8 |
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appelle avoit avons besoin catholique cause cesse chose chrétien christianisme commun concile conséquent conserver corps crime croire croyances culte d'autres d'être déclare demande dernier désordre devoir Dieu dire divine doctrine dogmes doit donner doute effet également Église élèves enfin esprits établi état étoit fidèles fond force forme général gouvernement haute hommes humain idées institutions Jésus-Christ jour juge jusqu'à l'autorité l'Église l'esprit l'État l'Europe l'homme l'ordre laisse liberté lieu lois lui-même ment ministres monde montre morale mort moyen n'en nations nature nécessaire nouvelles opinions ordre pape parler paroles partout passé passions peine pensée pères personne peuple peut-être peuvent philosophie place pontife porter pouvoir premier présent projet propre publique puissance puisse qu'à qu'en qu'un question raison rapports réforme religieuses religion reste révolution rien s'est s'il sacré saint sauroit sentiment sera seroit seul siècle social société sorte souverain souveraineté sujet système terre tion tolérance trouve vérité voilà volonté vrai
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ÇáÕÝÍÉ 116 - Dieu pour unir ses enfants dans la même foi et dans la même charité, nous tiendrons toujours à ton unité par le fond de nos entrailles! « Si je t'oublie , « Église romaine , puisse-je m'oublier moi-même ! « que ma langue se sèche et demeure immobile « dans ma bouche, si tu n'es pas toujours la pré...þ
ÇáÕÝÍÉ 119 - ... de France n'approuve pas l'opinion de ceux qui donnent atteinte à ces décrets, ou qui les affaiblissent, en disant que leur autorité n'est pas bien établie, qu'ils ne sont point approuvés, ou qu'ils ne regardent que le temps du schisme.þ
ÇáÕÝÍÉ 133 - C'est, disait-il, un système qui se réduit à croire le moins possible sans être hérétique, afin d'obéir le moins possible sans être rebelle. », et il avouait que sur aucun point important il ne se séparait de J. de Maistre. Cependant il ne serait pas exact de ne voir en lui que le disciple de J. de Maistre. Ceux qui ont nié l'originalité de l'auteur de l'Essai sur l'indifférence se sont fourvoyés *. Car si Lamennais...þ
ÇáÕÝÍÉ 359 - Monseigneur, quand nous disons qu'il existe en France des maisons soumises d'une manière plus ou moins directe à l'Université, et où les enfants sont élevés dans l'athéisme pratique et dans la haine du christianisme ? Dans un de ces horribles repaires du vice et de l'irréligion, on a vu trente élèves aller ensemble à la table sainte, garder l'hostie consacrée, et par un sacrilège que les lois auraient autrefois puni, en cacheter les lettres qu'ils écrivaient à leurs parents.þ
ÇáÕÝÍÉ 152 - L'hypothèse de toutes les souverainetés chrétiennes réunies par la fraternité religieuse en une sorte de république universelle, sous la suprématie mesurée, du pouvoir spirituel suprême; cette hypothèse, dis-je, n'avait rien de choquant, et pouvait même se présenter à la raison, comme supérieure à l'institution des Amphictyons.þ
ÇáÕÝÍÉ 106 - L'église gallicane n'eut presque pas d'enfance ; pour ainsi dire en naissant elle se trouva la première des églises nationales et le plus ferme appui de l'unité. Les Français eurent l'honneur unique, et dont ils n'ont pas été à beaucoup près assez orgueilleux , celui d'avoir constitué (humainement...þ
ÇáÕÝÍÉ 410 - Qu'on me prouve aujourd'hui qu'en matière de foi je suis obligé de me soumettre aux décisions de quelqu'un , dès demain je me fais catholique , et tout homme conséquent et vrai fera comme moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - souverain, après cela, a le droit de massacrer toute » cette ville sans quelle ait le droit de se défendre, il est » clair que le prince aura le droit de ruiner la société » entière. Puisqu'il vouloit conclure à la ruine de » toute la société, en ce cas que n'ajoutoit-il encore » que cette ville fût la seule où ce prince fût souve» rain, ou qu'il en voulût faire autant à (ouïes les (1) Du Pape, t.þ
ÇáÕÝÍÉ 119 - Que quoique le pape ait la principale part dans les questions de foi, et que ses décrets regardent toutes les Églises et chaque Église en particulier, son jugement n'est pourtant pas irréformable, à moins que le consentement de l'Église n'intervienne.þ
ÇáÕÝÍÉ 466 - ... ou par disposition à cause de mort feront retour aux donateurs ou à leurs parents au degré successible, ainsi qu'à ceux des testateurs au même degré. Quant aux biens qui ne feraient pas retour, ou qui auraient été acquis à titre onéreux, ils seront attribués et répartis, moitié aux établissements ecclésiastiques, moitié aux hospices des départements dans lesquels seraient situés les établissements éteints.þ