Vous me parlez bien plaisamment de nos misères ; nous ne sommes plus si roués; un en huit jours seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que la penderie me... Décadence de la monarchie - ÇáÕÝÍÉ 55ÈæÇÓØÉ Eugène Pelletan, Pierre Eugène Pelletan - 1861 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 500ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1801 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 450
...et moi , je l'aime. Vous me parlez bien plaisamment de nos misères; nous ne sommes plus si roués ; un en huit jours seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que \apenderie me paroît maintenant un rafraîchissement : j'ai une toute autre idée de la justice depuis... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1806 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 496
...et moi, je l'aime. Vous me parlez bien plaisamment de nos misères ; nous ne sommes plus si roués ; un en huit jours seulement , pour entretenir la justice. Il est vrai que la.penderie me paroît maintenant un rafraîchissement : j'ai une toute autre idée dela justice, depuis... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1806 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 504
...et moi , je l'aime. Vous me parlez bien plaisamment de nos misères} nous ne sommes plus si roués; un en huit jours seulement, pour entretenir la justice. Il est vrai que lu penderie me paroi t maintenant un rafraîchissement : j'ai une toute autre idée de la justice ,... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1820 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 506
...et moi je l'aime. Vous me parlez bien plaisamment de nos misères ; nous ne sommes plus si roués; un en huit jours seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que la penderie me paroît maintenant un rafraîchissement: j'ai une tout autre idée de la justice depuis que je suis... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1823 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 520
...et moi je l'aime. Vous me parlez bien plaisamment de nos misères ; nous ne sommes plus si roués ; un en huit jours seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que la penderie me paroît maintenant un rafraîchissement : j'ai une tout autre idée de la justice depuis que je suis... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1823 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 548
...roués ; un en huit jours seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que la penderie me paroît maintenant un rafraîchissement : j'ai une tout autre idée de la justice depuis que je suis en ce pays : vos galériens me paroissent une société d'honnêtes gens, qui se sont retirés du monde... | |
| Pierre Antoine Noël Bruno Daru - 1826 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 432
...1 7 novembre. ) « Vous me parlez bien plaisamment de nos misères. Nous ne sommes plus si roués; un en huit jours, seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que la penderie me paroît maintenant un rafraîchissement. J'ai une tout autre idée de % la justice, depuis que je suis... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1838 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 646
...pour entretenir la justice. Il est vraique la penderie me paroit maintenant un rafraîchisse meut : j'ai une tout autre idée de la justice depuis que je suis en ce pays : vos galériens me paroiaeent une société d'honnêtes gens , qui se sont retirés du... | |
| C. G. Hello - 1840 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 490
...de nos misères ; nous ne sommes plus « si roués, un en huit jours , seulement pour en« tretenir la justice. Il est vrai que la penderie me « paraît...tout autre idée de la justice, depuis que je suis en « ce pays : vos galériens me paraissent une société « d'honnêtes gens, qui se sont retirés... | |
| Alexis de Tocqueville - 1840 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 702
...me parlez bien plaisamment de nos imi sères ; nous ne sommes plus si roués ; un en huit « jours , pour entretenir la justice. Il est vrai que « la penderie me paraît maintenant un rafralchisse« ment. J'ai une tout autre idée de la justice, depuis (1) Pour sentir l'a -propos de... | |
| |