Décadence de la monarchie

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Pagnerre, 1861 - 500 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 55 - Vous me parlez bien plaisamment de nos misères ; nous ne sommes plus si roués; un en huit jours seulement pour entretenir la justice. Il est vrai que la penderie me...þ
ÇáÕÝÍÉ 55 - J'ai une tout autre idée de la justice depuis que je suis en ce pays : vos galériens me paraissent une société d'honnêtes gens, qui se sont retirés du monde pour mener une vie douce.þ
ÇáÕÝÍÉ 388 - Je ne souffrirai pas qu'il se forme dans mon royaume une association qui ferait dégénérer en une confédération de résistance , le lien naturel des mêmes devoirs et des obligations communes, ni qu'il s'introduise dans la monarchie un corps imaginaire qui ne pourrait qu'en troubler l'harmonie. La magistrature ne forme point un corps ni un ordre séparé des trois ordres du royaume...þ
ÇáÕÝÍÉ 30 - Montespan une robe d'or sur or, rebrodé d'or, rebordé d'or, et par-dessus un or frisé, rebroché d'un or mêlé avec un certain or , qui fait la plus divine étoffe qui ait jamais été imaginée : ce sont les fées qui ont fait cet ouvrage en secret ; âme vivante n'en avait connaissance.þ
ÇáÕÝÍÉ 482 - Enfin ou taillada la quatrième partie, c'est-à-dire l'autre épaule, et ce n'est que là que la tète tomba, quand elle fut emportée, ne restant que le tronc. On le défit des cercles de fer et l'on dit qu'il palpitait encore quand on le plaça sur le bûcher où l'on brûla le tout. Telle fut la fin de ce misérable, qui souffrit, à ce que l'on croit, les plus grands supplices que jamais homme ait éprouvés à cause de la longueur des douleurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 481 - M. l'archevêque, de tous les discours qu'il avait tenus contre lui; d'ailleurs qu'il assurait de nouveau qu'il n'avait ni complots, ni complices. C'est par où il finit, et s'y tint sans chercher à retarder son supplice, et désirant au contraire de finir. On le mena vers quatre heures et demie au milieu de la place de Grève, où l'on avait fait une...þ
ÇáÕÝÍÉ 433 - Je n'ai pas plu dans une conit versation sur les bâtiments. Ma douleur est d'avoir fâché sans • » fruit. Il n'ya qu'à prier et souffrir; mais le peuple, que þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - une grande rue , et défendu de les recueillir sur peine « de la vie ; de sorte qu'on voyait tous ces misérables , « femmes accouchées, vieillards,' enfants, errer en pleurs « au sortir de cette ville, sans savoir où aller, sans avoir « de nourriture ni de quoi se coucher.þ
ÇáÕÝÍÉ 55 - On ne laisse pas de pendre ces pauvres BasBretons ; ils demandent à boire et du tabac , et qu'on les dépêche...þ
ÇáÕÝÍÉ 350 - II ya deux places qui vous conviendraient également : le gouvernement de la Bastille et celui des Invalides ; si je vous donne la Bastille, tout le monde dira que je vous y ai envoyé ; si je vous donne les Invalides, on croira que c'est ma femme.þ

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