Du contract social: édition comprenant avec le texte définitif les versions primitives de l'ouvrage collationnées sur les manuscrits autographes de Genève et de NeuchâtelF. Alcan, 1896 - 424 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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acte ALGERNON SIDNEY ARISTOTE besoin BOSSUET chap CHAPITRE chefs choses citoyens Cive commun conserver constitution Contrat social convention corps politique démocratie Dieu dire Discours sur l'Inégalité doit donner édition de 1762 également Émile esclavage esclave Esprit des Lois établi État force forme de gouvernement Genève genre humain gouver Gouvernement civil Grotius guerre HOBBES hommes Institutions intérêt jamais justice l'aristocratie l'autre l'Émile l'état de nature l'homme légitime Lettre liberté libre LOCKE lui-même Lycurgue Machiavel magistrats maître manuscrit Marc Michel maxime membres ment MICHIGAN mœurs monarchie MONTESQUIEU morale nation naturelle nécessaire nement Neuchâtel Note du Contrat oligarchie paix patrie personne peuple PLATON Pologne Polysynodie pouvoir premier prince principes propre public publique puissance exécutive puisse qu'à qu'un raison rapport religion religion civile république reste rien rois Rousseau s'il serait seul sitôt sorte souverain souveraineté Sparte SPINOZA sujets tion Tite-Live trouve tyrannie veut VIII volonté générale volonté particulière
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ÇáÕÝÍÉ 74 - La loi , en général , est la raison humaine , en tant qu'elle gouverne tous les peuples de la terre ; et les lois politiques et civiles de chaque nation ne doivent être que les cas particuliers où s'applique cette raison humaine.þ
ÇáÕÝÍÉ 75 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...þ
ÇáÕÝÍÉ xxxiii - L'existence de la divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois; voilà les dogmes positifs.þ
ÇáÕÝÍÉ 46 - ... l'état, à l'égard de ses membres, est maître de tous leurs biens par le contrat social , qui , dans l'état, sert de base à tous les droits; mais il ne l'est, à l'égard des autres puissances, que par le droit de premier occupant, qu'il tient des particuliers.þ
ÇáÕÝÍÉ 262 - Afin donc que le pacte social ne soit pas un vain formulaire, il renferme tacitement cet engagement, qui seul peut donner de la force aux autres, que quiconque refusera d'obéir à la volonté générale y sera contraint par tout le corps, ce qui ne signifie autre chose sinon qu'on le forcera d'être libre...þ
ÇáÕÝÍÉ 388 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.þ
ÇáÕÝÍÉ 25 - Renoncer à sa liberté, c'est renoncer à sa qualité d'homme, aux droits de l'humanité, même à ses devoirs.þ
ÇáÕÝÍÉ 284 - Mais il n'appartient pas à tout homme de faire parler les dieux, ni d'en être cru quand il s'annonce pour être leur interprète. La grande âme du législateur est le vrai miracle qui doit prouver sa mission.þ
ÇáÕÝÍÉ 111 - Je suppose trois défmitions, ou plutôt trois faits : l'un, que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple, a la souveraine puissance; !e monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices ». Voilà ce que j'appelle la nature de chaque gouvernement.þ
ÇáÕÝÍÉ 37 - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.þ