Le cri de la verité contre la seduction du siécle |
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aime ainſi Apôtres auſſi bonheur c'eſt c'eſt-à-dire ceſſe choſe Chrétiens Chriſt Ciel connoître continuellement corps créature créé croire d'avoir Déiſtes Dieu dire Divinité dogme doit donne doute éclairée effet élever enfin eſprit eſt éternel étoit Etre faint fans Fils fond font force former forte gloire grace hommes idée Incrédules infini Jeſus Jeſus-Chriſt jours Juge Juifs juſqu'à l'ame l'autre l'Egliſe l'eſprit l'Evangile l'homme l'incrédulité l'Univers Livres lorſqu'on lorſque lui-même lumieres maniere ment merveilles mille monde mort moyens Myſteres n'en n'eſt n'étoit n'ont nature opérations Ouvrages parle paroles paſſions péché Pere perſonnes Peuples preuve Prophetes propre puiſſe qu'à qu'en qu'un raiſon rapport réellement Religion rend Révélation rien s'eſt s'il Saint ſans ſein ſelon ſeroit ſes ſeul ſiecles Société ſoit ſommes ſon ſont ſous ſur témoignage terre tion trouve Verbe vérité veut vrai yeux zele
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ÇáÕÝÍÉ 57 - Fils vous glorifie: comme vous lui „ avez donné puissance sur tous les hommes, afin qu'il donne la „vie éternelle à tous ceux que vous lui avez donnés.þ
ÇáÕÝÍÉ 108 - Quand Platon peint son juste imaginaire couvert de tout l'opprobre du crime, et digne de tous les prix de la vertu, il peint trait pour trait JésusChrist : la ressemblance est si frappante, que tous les Pères l'ont sentie, et qu'il n'est pas possible de s'y tromper.þ
ÇáÕÝÍÉ 110 - Jéfus au milieu d'un fupplice affreux prie pour fes bourreaux acharnés. Oui, fi la vie & la mort de Socrate font d'un Sage, la vie & la mort de Jéfus font d'un Dieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 58 - Et je me fanâifîe moimême pour eux , afin qu'ils foient auffi fanilifié? dans la vérité. Je ne prie pas pour eux feulement; mais encore pour ceux qui doivent croire en moi par leur parole...þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - Du sein du plus furieux fanatisme, la plus haute sagesse se fit entendre , et la simplicité des plus héroïques vertus honora le plus vil de tous les peuples. La mort de Socrate philosophant tranquillement avec ses amis est la plus douce qu'on puisse désirer; celle de Jésus expirant dans les tourments, injurié, raillé , maudit de tout un peuple, est la plus horrible qu'on puisse craindre.þ
ÇáÕÝÍÉ 108 - Je vous avoue auflî que la majefté des Ecritures m'étonne, la fainteté de l'Evangile parle à mon cœur. Voyez les livres des Philofophes avec toute leur pompe ; qu'ils font petits près de celui-là ! Se peut-il qu'un livre , à la fois fi fublime & fi fimple, foit l'ouvrage des hommes? Se peut-il que celui dont il fait l'hiftoire ne foit qu'un homme lui-même ? Eft-ce-là le ton d'un enthoufiafte ou d'un ambitieux fectaire?þ
ÇáÕÝÍÉ 58 - ... peut-il faire un ouvrage parfait ? » Et maintenant glorifiez-moi, vous mon Père dans vous» même , de la gloire que j'ai eu en vous , avant que le » monde fût. créé, & il étoit déjà glorifié. Donc glorifié par Dieu & en Dieu $ donc incréé , donc Dieu. » Ils ont reconnu véritablement que je fuis forti de vous, » &: ils ont cru que vous m'avez envoyé. Si Jefus-Chrift n'avoit été qu'un Prophète , étoit-il donc...þ
ÇáÕÝÍÉ 109 - D'autres avant lui l'avoient mife en pratique ; il ne fit que dire ce qu'ils avoient fait , il ne fit que mettre en leçons leurs exemples. Ariftide avoit été jufte avant que Socrate eût dit ce que c'étoit que juftice...þ
ÇáÕÝÍÉ 58 - Je leur ai donné votre parole, & le monde les a haïs , parce.qu'ils ne font point du monde , comme je ne fuis point moi-même du monde.þ
ÇáÕÝÍÉ 93 - Difciples, quiîl'appercoivent continuellement, & de plus près , font les plus frappés de l'innocence de fa vie ; & la familiarité , fi dangereufe à la vertu la plus héroïque , ne fert qu'à découvrir tous les jours de nouveaux prodiges dans la fienne.þ