 L'on se couche à la cour et l'on se lève sur l'intérêt - c'est ce que l'on digère le matin et le soir, le jour et la nuit : c'est ce qui fait que l'on pense, que l'on parle , que l'on se tait , que l'on agit...  Classiques Populaires - ÇáÕÝÍÉ 142ÈæÇÓØÉ Léo Claretie - 1888 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 238ÚÑÖ ßÇãá - áãÍÉ Úä åÐÇ ÇáßÊÇÈ
 | Jean de La Bruyère - 1820 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 440
...une grande simplicité que d'apporter à la cour la moindre roture , et de n'y être pas gentilhomme. L'on se couche à la cour et l'on se lève sur l'intérêt : c'est ce que l'on digère le matin et le soir , le jour et la nuit ; c'est ce qui fait que l'on pense , que... | |
 | Jean de La Bruyère - 1823 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 326
...une grande simplicité que d'apporter à la cour la moindre roture , et de n'y être pas gentilhomme. L'on se couche à la cour et l'on se lève sur l'intérêt - c'est ce que l'on digère le matin et le soir, le jour et la nuit : c'est ce qui fait que l'on pense, que... | |
 | Jean de La Bruyère - 1824 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 424
...passer, 226, 227. — C'est une grande simplicité que d'apporter à la cour la moindre roture, 229. — L'on se couche à la cour et l'on se lève sur l'intérêt , ibid. — L'on n'y attente rien de pis contre le vrai mérite que de le laisser quelquefois sans... | |
 | Jean de La Bruyère - 1829 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 818
...; il dira toujours qu'il marche après la maison régnante ; et, à force de le dire, il sera cru. L'on se couche à la cour, et l'on se lève sur l'intérêt : c'est ce que l'on digère le matin et le soir, le jour et la nuit ; c'est ce qui fait que l'on pense, que... | |
 | François Noel, L. J. Carpentier - 1831 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 820
...tom. xm,p. i3i. « Les passions qui se laissent gouster et digérer, sont médiocres. » MOÏT. « On se couche à la cour , et l'on se lève sur l'intérêt : c'est ce qu'on digère le matin et le soir, le jour et la Huit. » LA BRUVÈRE. « Faisons accroire à Nicodème... | |
 | François duc de La Rochefoucauld, Blaise Pascal, Jean de La Bruyère - 1834 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 776
...grande simplicité que d'apporter à la cour la moindre roture , et de [n'y être pas gentilhomme. L'on- se couche à la cour, et l'on se lève sur l'intérêt : c'est ce que l'on digère le matin et le soir, le jour et la nuit ; c'est ce qui fait que l'on pense, que... | |
 | Blaise Pascal - 1839 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 702
...oient se passer, ibid. C'est une grande » implicite qu» d'apporter A la cour la moindre roture, 405. L'on se couche à la cour et l'on se lève sur l'intérêt, ibid. L'on n'y attente rien de pis contre le vrai mérite que de le laisser quelquefois sans récompense,... | |
 | François-Joseph-Michel Noël, L. J. Carpentier - 1839 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 814
...tom. xui.p. i3i. « Les pissions qui se laissent goutter et digérer, sont médiocres. » VONT. « On se couche à la cour , et l'on se lève sur l'intérêt : c'est ce qu'on digère le matin et le soir, le \our cl la nuit. » LA BRUYÈRE. « Faisons accroire à Nicodèmcque,... | |
 | 1847 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 782
...une grande simplicité que d'apporter » la cour la moindre roture, et de n'y être pas gentilhomme. ce que l'on digère le matin et le soir, le jour et la nuit; c'est ce qui fait que l'on pense , que... | |
 | Jean de La Bruyère - 1847 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 544
...une grande simplicité que d'apporter à la cour la moindre roture, et de n'y être pas gentilhomme. L'on se couche à la cour, et l'on se lève sur l'intérêt : c'est ce que l'on digère le matin et le soir, le jour et la nuit; c'est ce qui fait que l'on pense , que... | |
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