Oeuvres de Dante AlighieriCharpentier, 1853 - 588 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
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âmes amour arrivé avant Béatrice beauté belle cause cercle change CHANT chemin chose ciel cœur commence corps côté coup cour cria d'elle d'où Dame Dante demande dernier désir désirs devant Dieu dire disant divine donner douleur ensuite esprit éternelle faisait femme fils force forme gens guide haut homme j'ai jour jusqu'à l'âme l'amour l'autre l'enfer l'esprit l'un laisse langue levai lieu lumière main maintenant maître marche milieu monde montagne monter montre mort nature nouvelle ombres parler paroles passe pendant pensée père personne peut-être pieds Pierre place plein pleurer poésie poëte porte première qu'un raison rayons regards rend répondit reste retourner rien s'en s'il saint sais seconde semble sentis sera seul siècle soleil sorte suivant tellement tenait terre tête tombe tour tourna trouve venir vérité vertu veux vient Virgile visage vision vive voie vois voix volonté vrai yeux
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ÇáÕÝÍÉ 425 - parmi les mortels, tu es une source vive d'espérance. » Femme, tu es si grande et tu as tant de puissance, que celui qui veut une grâce et ne recourt pas à toi veut que son désir vole sans ailes. » Ta bonté ne secourt pas seulement celui qui demande, mais bien des fois elleþ
ÇáÕÝÍÉ 3 - par tous les degrés de l'échelle, d'un seul beau corps à deux, de deux à tous les autres, des beaux corps aux beaux sentiments, des beaux sentiments aux belles connaissances, jusqu'à ce qu'on arrive à la connaissance suprême, qui n'a d'autre objet que le Beauþ
ÇáÕÝÍÉ 382 - Et vous, mortels, soyez retenus dans vos jugements; car nous, qui voyons Dieu, nous ne connaissons pas encore tous les élus. » Et une telle ignorance nous est douce, parce que notre bonheur s'accroît de ce bonheur, et que nous voulons ce que Dieu veut.þ
ÇáÕÝÍÉ 117 - Le bon maître se mit à me dire : « Regarde celui-ci, avec son épée dans la main, qui vient en avant des trois autres, comme leur seigneur. » C'est Homère, poète souverain ; après lui, vient Horace, le satirique; Ovide est le troisième, et le dernier est Lucain; 1þ
ÇáÕÝÍÉ 112 - Ce sort misérable est réservé aux tristes âmes de ceux qui vécurent sans mériter le mépris et sans mériter la louange. » Elles sont mêlées au chœur pervers des anges qui ne furent ni rebelles ni fidèles à Dieu, mais ne furent que pour eux seuls. » Le ciel les a chassés pour n'être pas moins beau,þ
ÇáÕÝÍÉ 425 - En toi se réunit la miséricorde, en toi la pitié, en toi la magnificence, en toi tout ce qu'il ya de bon dans la créature. » Or celui qui, du plus profond abîme de l'univers jusqu'ici, a vu les existences des esprits uneþ
ÇáÕÝÍÉ 109 - j'ai véc.u à Rome sous le bon Auguste, au temps des dieux faux et menteurs. » Je fus poëte, et je chantai ce pieux fils d'Anchise, qui vint de Troie après que le superbe Ilion fut brûlé. » Mais toi, pourquoi retournes-tu àþ
ÇáÕÝÍÉ 50 - A chaque âme éprise, à tout noble cœur à qui ce présent sonnet parviendra, afin qu'ils en disent leur avis, salut! au nom de leur Seigneur, c'est-à-dire Amour. » Le tiers des heures pendant lesquelles les étoiles sont le plus brillantes était passé, quand Amour m'apparutþ
ÇáÕÝÍÉ 144 - me rendit injuste contre moi-même qui étais si juste. » Par les racines récentes de ce bois, je vous jure que jamais je ne manquai de foi à mon maître, qui fut si digne d'être honoré. » Et si l'un de vous retourne au monde, relevez ma mémoire, qui gît encore sous le coup que l'Envie lui a porté.þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - L'angoisse des malheureux qui sont làbas répand sur mon visage une pitié que tu prends pour de la frayeur. » Allons, car la longueur du chemin nous presse. » Ainsi il pénétra, et ainsi il me fit entrer dans le premier cercle qui environne l'abîme. Là, autant que je pusþ