Mémoires de Rivarol |
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ÇáÕÝÍÉ 377 - Je commence par déclarer que je regarde comme souverainement impolitique la dénonciation qui vient d'être provoquée ; cependant, si l'on persiste à la demander, je suis prêt, moi, à fournir tous les détails et à les signer : mais auparavant je demande que cette Assemblée déclare que la personne du roi e-st seule inviolable et que tous les autres individus de l'État, quels qu'ils soient, sont également sujets et responsables devant la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 154 - Je crois, messieurs, qu'il peut être utile d'empêcher que tel membre de l'assemblée n'entre dans le ministère. Mais comme, pour obtenir cet avantage particulier, il ne convient pas de sacrifier un grand principe, je propose pour amendement l'exclusion du ministère aux membres de l'assemblée que l'auteur de la motion paraît redouter, et je me charge de vous les faire connaître.þ
ÇáÕÝÍÉ 360 - Mettre la loi au-dessus de l'homme est un problème en politique, que je compare à celui de la quadrature du cercle en géométrie.þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - Je ne connais que trois manières d'exister dans la société ; il faut y être mendiant , voleur ou salarié. Le propriétaire n'est lui-même que le premier des salariés.þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Assemblée, que le vaisseau de l'État, loin d'être arrêté dans sa course, s'élançait avec plus de rapidité que jamais vers sa régénération; M. Barnave riant avec lui quand des flots de sang coulaient autour de nous; le vertueux Mounier échappant par miracle à vingt assassins qui avaient voulu faire de sa tête un trophée de plus : voilà ce qui me lit jurer de ne plus mettre le pied dans cette caverne d'anthropophages, où je n'avais plus la force d'élever la voix, où depuis six semaines...þ
ÇáÕÝÍÉ 24 - C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le bonheur de mes peuples, et il est rare peut-être que l'unique ambition d'un souverain soit d'obtenir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour accepter ses bienfaits.þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - Ainsi fut abrogée la dîme , ce tribut patriarchal, le plus antique et le plus vénérable qui existât parmi les hommes ; ainsi fut brisé le lien qui attachait les espérances de la terre aux bontés du 'ciel, l'intérêt du pontife à la prospérité du laboureur , et les cantiques et les prières de tous les âges aux fleurs et aux fruits de toutes les saisons.þ
ÇáÕÝÍÉ 47 - C'est à quoi se réduit cette prise de la Bastille , tant célébrée par la populace parisienne. Peu de risques, beaucoup d'atrocités de leur part, et une lourde imprévoyance de la part de M. de Launay ; voilà tout : ce ne fut , en un mot , qu'une prise de possession. La populace , ivre d'amour-propre et de rage , porta sur un char de triomphe je ne sais quel déserteur des...þ
ÇáÕÝÍÉ 321 - Il serait difficile de peindre la confuse et lente ordonnance de cette marche qui dura depuis une heure et demie jusqu'à sept. Elle commença par une décharge générale de toute la mousqueterie de la garde de Versailles et des milices parisiennes. On s'arrêtait, de distance en distance, pour faire de nouvelles salves...þ
ÇáÕÝÍÉ 155 - ... je ne suis pas étonné qu'il me croie incapable de remplir une mission que je regarde comme fort au-dessus, non de mon zèle ni de mon courage, mais de mes lumières et de mes...þ