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" Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. "
Premières poésies, 1829-1835 - الصفحة 151
بواسطة Alfred de Musset - 1906 - عدد الصفحات: 418
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Revue de Paris, المجلد 74

1835 - عدد الصفحات: 350
...étions seuls, pensifs , et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie.— Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur , et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur...

Poésies complètes: Contes d'Espagne et d'Italie ; Poésies diverses ; Un ...

Alfred de Musset - 1841 - عدد الصفحات: 456
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pale et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,...

Poésies complètes de Alfred de Musset

Alfred de Musset - 1849 - عدد الصفحات: 428
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une seour,...

Revue du nouveau-monde, المجلد 1

Comte Philippe Régis Denis de Keredern Trobriand - 1850 - عدد الصفحات: 398
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au inonde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,...

Poésies nouvelles de Alfred de Musset: 1836-1852--

Alfred de Musset - 1852 - عدد الصفحات: 306
...seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. • Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,...

Premières poésies de Alfred de Musset, 1829-1835

Alfred de Musset - 1857 - عدد الصفحات: 374
...très-pâle. — Elle arrive de France, Et regrette le sol qu'elle vient de quitter. On dit qu'elle a seize ans. — Elle est Américaine ; Mais, dans ce beau...diadème Elle laisse à demi, sur son front orgueilleux, En longues tresses d'or tomber ses blonds cheveux. Elle est de ces beautés dont on dit qu'on les aime...

Premières poésies de Alfred de Musset--1829-1835--

Alfred de Musset - 1859 - عدد الصفحات: 376
...très-pâle. — Elle arrive de Frapre, Et regrette le sol qu'elle vient de quitter. On dit qu'elle a seize ans. — Elle est Américaine ; Mais, dans ce beau...deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé ld profondeur et réfléchi l'azur. Faible et toujours souffrante, ainsi qu'un diadème Elle laisse...

Poésies nouvelles

Alfred de Musset - 1859 - عدد الصفحات: 340
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait , je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,...

Oeuvres complètes de Alfred de Musset, المجلد 1

Alfred de Musset, Paul de Musset - 1866 - عدد الصفحات: 396
...très-pâle. — Elle arrive de France, Et regrette le sol qu'elle vient de quitter. On dit qu'elle a seize ans. — Elle est Américaine; Mais, dans ce beau...diadème, Elle laisse à demi, sur son front orgueilleux, En longues tresses d'or tomber ses blonds cheveux. Moins qu'on ne les admire; — un noble, un chaste...

Poésie

Alfred de Musset - 1866 - عدد الصفحات: 394
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,...




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