Œuvres complètes de Voltaire: Correspondance (années 1711-1776, nos 1-9750) 1880-82Garnier frères, 1881 |
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acte Adieu affaire Altesse assez aura avez Beaumont bonté CARDINAL DE BERNIS Cassandre Cayrol et François cher frère chose Cinna cœur comédie COMTE D'ARGENTAL conseil consolation Coquerel crois Crosne d'Alembert d'Olympie daigne DAMILAVILLE DEBRUS Délices Dieu dire divins anges donner duc de Choiseul duc de Praslin Dupuits écrire écrit envoyé êtes fanatisme Ferney février frère Thieriot Genève homme imprimer J'embrasse j'en janvier Jean Calas Jean Meslier Jean-Jacques jésuites jouer juges l'affaire l'inf Lavaysse Lekain livre m'avez madame malheur mandé Mariamne Mariette mars mémoire Meslier Mile Corneille Mme Calas Mme Denis monsieur n'ai Note du premier Olympie ouvrage paquet parlement de Toulouse père philosophe pièce Pierre Pierre Corneille plaisir premier éditeur présent procès raison remercier rien roué sais scène Seigneur sentiments sera Statira tendres respects théâtre tragédie Tronchin veuve Calas Vic-sur-Aisne voilà Voltaire voudrais Voyez la lettre Voyez la note Voyez lettre voyez tome XXIV Zulime
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ÇáÕÝÍÉ 142 - Jean-Jacques a été décrété de prise de corps comme à Paris. Ce Contrat social ou insocial n'est remarquable que par quelques injures dites grossièrement aux rois par le citoyen du bourg de Genève , et par quatre pages insipides contre la religion chrétienne. Ces quatre pages ne sont que des centons de Bayle. Ce n'était pas la peine d'être plagiaire. L'orgueilleux Jean-Jacques est à Amsterdam , où l'on fait plus de cas d'une cargaison de poivre que de ses paradoxes.þ
ÇáÕÝÍÉ 404 - Je vous remercie de proscrire l'étude chez les laboureurs. Moi qui cultive la terre , je vous présente requête pour avoir des manœuvres, et non des clercs tonsurés.þ
ÇáÕÝÍÉ 505 - Les renards et les loups furent longtemps en guerre : Les moutons respiraient; des bergers diligents Ont chassé par arrêt les renards de nos champs Les loups vont désoler la terre. Nos bergers semblent, entre nous, Un peu d'accord avec les loups.þ
ÇáÕÝÍÉ 182 - Chilpéric; je pourrais vous faire convenir que le jargon d'une petite province, mêlé de chaldéen, de phénicien, et d'arabe, était une langue aussi indigente et aussi rude que notre ancien gaulois; mais je vous fâcherais peut-être, et vous me paraissez trop galant homme pour que je veuille vous déplaire.þ
ÇáÕÝÍÉ 536 - Lettre de J.-J. Rousseau, de Genève, qui contient sa renonciation à la société et ses derniers adieux aux hommes ; adressée au seul ami qui lui reste dans le monde, 1765, in-12.þ
ÇáÕÝÍÉ 53 - ... la nature, être l'électeur de trois ou quatre papes*, et revoir souvent cette partie du monde qui a été le berceau de tous les arts. N'en voilà-t-il pas assez pour bercer cet enfant que vous appelez la vie?þ
ÇáÕÝÍÉ 514 - Il est à souhaiter qu'on ne se jette point dans la métaphysique, que peu de personnes entendent, et qui fournit toujours des armes aux ennemis. Il est à la fois plus sûr et plus agréable de jeter du ridicule et de l'horreur sur les disputes théologiques, de faire sentir aux hommes combien la morale est belle et les dogmes impertinents, et de pouvoir éclairer à la fois le chancelier et le cordonnier. On n'est parvenu, en Angleterre, à déraciner la superstition que par cette voie. Ceux qui...þ
ÇáÕÝÍÉ 178 - Il me sera bien doux de lui rendre tous les services qui seront en mon pouvoir, et d'y faire concourir tous ceux qui, en admirant vos bontés et vos généreux soins pour cette famille infortunée, s'honoreront de pouvoir imiter tant de vertus. » Je suis avec le plus profond respect, monsieur, votre trèshumble et très-obéissant serviteur, þ
ÇáÕÝÍÉ 252 - ... par le sentiment de la bienfaisance, et par le goût du vrai, du bon et du beau, espèce de trinité qui vaut un peu mieux que la leur.þ
ÇáÕÝÍÉ 403 - J'avais cru que Racine serait ma consolation , mais il est mon désespoir. C'est le comble de l'insolence de faire une tragédie après ce grand homme-là. Aussi, après lui , je ne connais que de mauvaises pièces , et, avant lui, que quelques bonnes scènes.þ