Œuvres de La Harpe ... accompagnées d'une notice sur sa vie et sur ses ouvrages ...Verdière, 1820 |
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
acte aime amant amour applaudi assez auteur Barmécides beau beautés c'était chant charmant chose cœur comédie Comédie-Italienne comédiens comte comte de Tressan comtesse de Genlis Corresp Cuvilly d'Alembert défauts déja dernier donner Dorat drame écrit écrivain éloge espèce esprit eût femme Fréron gaieté Genlis genre gens de lettres Gluck goût grace Grétry heureux homme imprimé j'ai jamais jeune jolis jouer jour journal l'abbé l'académie française l'amour l'Année littéraire l'art l'auteur l'éloge l'esprit l'Opéra l'ouvrage Lally Lekain littér livre long-temps Louis madame madame de Genlis madame de Montesson mademoiselle Raucourt Marmontel ment mérite Mierre mieux Molière monde morceaux mort musique nouveautés ouvrage paraît parler parterre paru philosophie Piccini pièce plaisir poëme poésie poëte prose public qu'un raison représentation reste ridicule rien s'est satire scène sentir sera seul Solard spectacle style succès sujet sur-tout talent teur théâtre Théâtre-Français Théâtre-Italien tion tragédie trouve vient Voici Voilà voix Voltaire volumes vrage
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 198 - Œnone, et ne suis point de ces femmes hardies Qui, goûtant dans le crime une tranquille paix, Ont su se faire un front qui ne rougit jamais.þ
ÇáÕÝÍÉ 455 - ÉGLÉ, belle et poète, a deux petits travers: Elle fait son visage, et ne fait pas ses vers.þ
ÇáÕÝÍÉ 314 - Qu'elle vint souper en grande compagnie chez Madame de Marchais, où j'étais ; et on lui parla de la perte qu'elle venait de faire. Hélas ! il est mort ce soir à six heures ; sans cela, vous ne me verriez pas ici. Ce furent ses propres paroles ; et elle soupa comme à son ordinaire, c'est-à-dire fort bien ; car elle était trèsgourmande.þ
ÇáÕÝÍÉ 479 - II vous l'eût pris lui-même; et si dans la province II se donnait en tout vingt coups de nerf de bœuf, Mon père pour sa part en emboursait dix-neuf.þ
ÇáÕÝÍÉ 465 - ... dans un gras pâturage , Sa vigueur indomptée et sa grâce sauvage. Que j'aime et sa souplesse et son port animé ! Soit que dans le courant du fleuve accoutumé, En frissonnant il plonge , et, luttant contre l'onde, Batte du pied le flot qui blanchit et qui gronde ; Soit qu'à travers les prés il s'échappe par bonds ; Soit que, livrant aux vents ses longs crins vagabonds, Superbe , l'œil en feu, les narines fumantes, Beau d'orgueil et d'amour, il vole à ses amantes : Quand je ne le vois...þ
ÇáÕÝÍÉ 422 - Je me campe fièrement ; Et je vais en ambassade , Au nom de mon souverain , Dire que je suis malade *, Et que lui se porte bien. Avec une joue enflée , Je débarque tout honteux : La princesse...þ
ÇáÕÝÍÉ 23 - Crapak tel est l'original en somme, On le verra tous les matins Au bout du quai des Théatins. Par un salut profond, beaucoup de modestie, Les grands seigneurs paieront leur curiosité. Porte ouverte à l'Académie, A tous acteurs de comédie Qui flatteront sa vanité Et voudront adorer l'idole. Les gens mitrés portant étole Verront de loin, moyennant une obole, Pour éviter ses griffes et ses dents.þ
ÇáÕÝÍÉ 301 - Reprend la plume promptement Jusqu'à dix heures.... seulement; lors va souper légèrement ; Puis au sixième lestement Grimpe , et se couche froidement Dans un lit fait Dieu sait comment ! ' ' Dort , et n'est heureux qu'en dormant.... Ah i pauvre clerc du parlement .' Mais cette existence précaire ne pouvait convenir long-temps à M.þ
ÇáÕÝÍÉ 245 - S'épanouit ; quand les dons de Pomone , Le doux raisin , la pêche au teint vermeil , Sont colorés aux rayons du soleil , Tu crois jouir de la simple nature : Apprends, mon fils, que la fleur, que le fruit Tient sa beauté d'une lente culture ; Que la nature a d'abord tout produit Négligemment , comme le fruit sauvage , Comme la fleur des champs et des buissons ; Et que plus riche, et plus belle, et plus sage, Elle doit tout à l'heureux esclavage Où la tient l'art, formé par ses leçons. Oui...þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - Lagrange n'ait pas eu le temps de mettre la dernière main à son ouvrage, soit que sa mauvaise santé ne lui ait pas permis de le travailler assez.þ