Philosophie sensualiste au dix-huitième siècle |
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absolue actions appelle avant avons beau besoin c'est-à-dire caractère cause cesse chap chose civil commun Condillac connaissance conscience conséquent considérer contraire contrat corps cours d'autres d'être désir déterminer développe devoir Dieu différence dire doit donner doute durée écrit effet également elle-même esprit facultés fondement force forme générale genre gouvernement Helvétius Hobbes hommes humain Ibid idées jugement juste justice l'âme l'esprit l'état l'homme l'idée l'intérêt l'ordre l'origine langage légitime liberté libre lieu livre Locke lois lui-même main ment méthode monarchie monde morale moyen n'en nation nature naturelle nécessaire nombre objets parle particulier passions pensée personne peuple philosophie plaisir porte pouvoir première principe propre propriété puissance qu'une qualités question raison rapport règle représente respect rien s'il Saint-Lambert science sens sensation sentiment serait seul siècle signes simple société sorte souvent souverain souveraineté suite sujet suppose système théorie tion Traité trouve universel vérité vertu Voilà volonté Voyez vrai
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ÇáÕÝÍÉ 268 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'état quiconque ne les croit pas ; il peut le bannir, non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir. Que si quelqu'un, après avoir reconnu publiquement ces mêmes dogmes, se conduit comme ne les croyant pas, qu'il soit puni de mort ; il a commis le plus grand des crimes : il a menti devant les lois.þ
ÇáÕÝÍÉ 311 - L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.þ
ÇáÕÝÍÉ 29 - ... peut-être ne serons-nous jamais capables de connaître si un être purement matériel pense' ou non , par la raison qu'il nous est impossible de découvrir par la contemplation de nos propres idées, sans révélation , si Dieu n'a point donné à quelque amas de matière, disposée comme il le trouve à propos, la puissance d'apercevoir et de penser, ou s'il a joint et uni à la matière ainsi disposée une substance immatérielle qui pense.þ
ÇáÕÝÍÉ 268 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.þ
ÇáÕÝÍÉ 120 - Pourquoi donc n'y tomberoit-elle pas ? Cette moralité consiste uniquement dans la conformité de nos actions avec les lois : or ces actions sont visibles, et les lois le sont également, puisqu'elles sont des conventions que les hommes ont faites.þ
ÇáÕÝÍÉ 171 - Ame abjecte', c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles ! ou plutôt tu veux en vain t'avilir; ton génie dépose contre tes principes , ton cœur bienfaisant dément ta doctrine , et l'abus même de tes facultés prouve leur excellence en dépit de toi.þ
ÇáÕÝÍÉ 176 - S'il parle de l'intérêt réfléchi, calculé, par lequel l'homme se compare aux autres et se préfère, il est faux que les hommes, même les plus corrompus, se conduisent toujours par ce principe. Il est faux que les sentiments moraux n'influent pas sur leurs jugements, sur leurs actions, sur leurs affections.þ
ÇáÕÝÍÉ 11 - ... de différents côtés. Après nous être fatigués quelque temps, sans nous trouver plus en état de résoudre les doutes qui nous embarrassaient , il me vint dans l'esprit que nous prenions un mauvais chemin , et qu'avant de nous engager dans ces sortes de recherches , il était nécessaire d'examiner notre propre capacité , et de voir quels objets sont à notre portée , ou au-dessus de notre compréhension.þ
ÇáÕÝÍÉ 172 - Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu ! c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions...þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - De là il arrive que non - seulement la conscience nous donne connaissance de nos perceptions, mais encore, si elles se répètent, elle nous avertit souvent que nous les avons déjà eues, et nous les fait connaître comme étant à nous, ou comme affectant , malgré leur variété et leur succession , un être qui est constamment le même nous. La conscience, considérée par rapport à ces nouveaux effets , est une nouvelle opération qui nous sert à chaque instant, et qui est le fondement de...þ