Petite bibliothèque des théatres, contenant un recueil des meilleures pieces du théatre françois, tragique, comique, lyrique & bouffon, depuis Porigine des spectacles en France, jusqu'à nos jours, المجلد 64Au Bureau de la Petite bibliotheque des théatres, 1789 |
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acte affreux Albéric ALTÉMORE amant amour appercevant Atrée avoit Belloy billet bonheur bras Bressan Bresse bruit cher Ciel cœur Comte Avogare connoissez connoître COUCY courage crime cruel D'ALEGRE d'Armance d'Avogare derniere devoir digne douleur Duc d'Urbin effroi époux étoit EUPHEMIE Fayel foible frémis fureur Gabrielle de Vergy Gardes Gaston et Bayard gloire grace guerriers hélas Héros ISAURE j'ai j'avois jaloux Journal des Savans jours l'ame l'amour l'honneur l'horreur l'interrompant larmes Madame Mademoiselle de Lussan main Maison de Vergy malheurs meurs MONLA Monlac montrant mort mortels Nemours Patrie pere perfide Pescaire pitié pleurs Poëte Prince Raoul Raoul de Coucy remords remparts Rhétel rival sang SCENE PREMIERE SCENE VII secret Seigneur sentiment seul Siége de Calais soins SOLDATS FRANÇOIS sort soupçons sujet supplice talens tems tendre terreur terrible Théatre Tragédie trahir traître tremble trépas triomphe URBIN vainqueur vase vengeance vertu veut veux victoire VIEILLARD vois Voyant paroître yeux
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الصفحة 52 - L'homme chérit toujours le bienfaiteur des hommes. GABRIELLE, O\'CC douleur. Quoi! l'Asie en Raoul vante son bienfaiteur, En lui mon souverain voit son libérateur, Par-tout où le destin nous donna la victoire Son nom est le premier qu'ait prononcé la gloire; Et quand tout l'univers adore tes vertus, Seule on m'a condamnée à ne t'adorer plus, Moi , que chérit ton cœur, qui t'aimai la première...
الصفحة 84 - On m'y plonge vivante ! O suprême justice ! après tant de rigueur , Daignez juger vous-même entre vous et mon cœur. Hélas ! un cœur sensible est un présent céleste , Pourquoi de tous vos dons est-il le plus funeste ? Tant de traits dont le mien s'est senti déchirer , Quel crime volontaire a pu les attirer...
الصفحة 10 - Il est des biens cachés que vos soupirs implorent; Et ce brillant éclat des jours les plus sereins S'est perdu dans la nuit de vos sombres chagrins. Ah ! si vous chérissez un époux qui vous aime...
الصفحة 85 - Non , fais-moi périr seule ; et par mes justes peines , Taris , avec mon sang , la source de vos haines. Gardez tous deux vos coups aux rivaux des François ; Laissez ce faux honneur , le père des forfaits. Eh ! pour qui bravez-vous l'humanité trahie ? Est-ce à moi de coûter un fils à la patrie?...
الصفحة 32 - Et de toi désormais c'est-là tout ce qui reste. (en regardant le billet. ) Relisons ce billet, ce garant de ta foi. Que ce gage sacré me tienne lieu de toi. J'y recueille ton ame : à ton heure dernière, L'amour sur cet écrit la porta tout entière. (Elle se remet à lire le billet.) SCÈNE V. FAYEL, ISAURE, GABRIELLE. FATEL, à Isaure, qui paraît avec lui, et veut lempêcher d'entrer.
الصفحة 11 - Eh ! qu'importe la foi que le cœur ne suit pas ? C'est un présent honteux. Il faut que je, rougisse Du bonheur de mes jours , s'il fait votre supplice. L'amour , premier devoir qu'exige votre foi , Ici , comme une grâce , est réclamé par moi ; Mais vos tristes froideurs....
الصفحة 83 - EnpHÉMiE, aux malheureux propice, Tendit à ce vieillard une main protectrice, Et de ses longs revers adoucit les regrets. Il a d'un noble prix su payer ses bienfaits : Et , sûr de ses vertus , par un aveu sincère , \ Il vient lui réveler les crimes de son père.
الصفحة 7 - Non ; c'est l'unique frein qui peut me retenir ; C'est le doute fatal que je veux éclaircir. Que dis-je ? au fond du cœur cent fois je me condamne D'accuser des vertus que le soupçon profane. Depuis que , par nos cris le ciel importuné L'a rendue aux besoins d'un peuple infortuné, De ses soins maternels la tendre inquiétude Fait du bonheur public sa gloire et son étude : Son âme , adoucissant et nos lois et nos mœurs - \ Redouble ses bienfaits pour venger ses malheurs. Hélas ! les 'sons...
الصفحة 59 - D'arracher à la fois sa vie avec l'acier. On dit plus ; que le coup part de la main d'un traître... J'en ai vu près de lui que vous devez connoître.
الصفحة 34 - GASTON. Comte, j'ai renfermé la flamme la plus pure Tant qu'un refus du roi pouvoit vous faire injure ; C'est pour vous l'épargner qu'en pressant ce lien Même avant votre aveu j'ai recherché le sien: Ne craignez point Bayard, je défendrai mon père; Puissent mes tendres soins et mon respect sincère Rendre après tant de pleurs un fils à votre amour ! AVOGARE.