Mémoires d'un temoin de la révolution, ou, Journal des faits qui se sont passés sous ses yeux, et qui ont préparé et fixé la constitution française: ouvrage posthume, ÇáãÌáÏ 3 |
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ÇáÕÝÍÉ 336 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 176 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage...þ
ÇáÕÝÍÉ 338 - ... à l'exécuter ; si un semblable mélange de fonctions hétérogènes dans les prêtres catholiques ne peut pas survivre à la reconnaissance des vrais principes, les mêmes réflexions s'appliquent aux actes de mariage et de sépulture. La cérémonie religieuse du mariage , celle des obsèques appartiennent aux prêtres du culte dans lequel on a vécu, on s'est marié , on est mort. Mais le pouvoir de constater que deux membres de la société ont uni leurs corps, que leurs enfans seront légitimes,...þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - Il me semble que M. de Montmorin y était. Je portai la santé du roi , de la reine , de M. le dauphin et de la famille royale ; et comme je portai aussi celle des ministres patriotes , M. de SaintPriest porta la mienne et celle de M. de La Fayette. On ne porta ni celle de la nation, ni celle de la commune.þ
ÇáÕÝÍÉ 22 - J'en compte trois : celle du 17 juin, où les communes ont repris l'autorité souveraine et nationale ; celle du 14 juillet, où le peuple armé a fait éclore la véritable force publique, et, en renversant la Bastille, a détruit le pouvoir arbitraire; enfin, la nuit du 4 août, où toutes les charges qui pesaient sur le peuple ont été détruites, et où la France a été vraiment régénérée. Le régime féodal qui pesait sur le peuple et depuis des siècles , a été détruit d'un seul coup...þ
ÇáÕÝÍÉ 283 - La ville de Paris serait autorisée à ouvrir un emprunt jusqu'à la concurrence du tiers du prix de la vente; il ne lui serait pas difficile de présenter les soumissions d'un grand nombre de capitalistes.þ
ÇáÕÝÍÉ 307 - Je vais vous rendre compte des mesures que M. le commandant-général et moi avons prises pour assurer la tranquillité publique. Nous nous sommes aperçus , depuis huit ou dix jours , qu'il régnait dans la ville une grande fermentation. Des vagabonds étrangers s'y sont ramassés, et cherchent à y semer le désordre. Ils excitent le peuple ; on assure même qu'il a été répandu de largent.þ
ÇáÕÝÍÉ 355 - En nous rappelant à l'union qui fait la force des peuples libres, vous allez surtout établir la grande union de la nation et du prince. Que la confiance descende de cette auguste Assemblée et du trône (i) Voyez le récit de cette scène louchante dans les Mémoires dp Perrièreþ
ÇáÕÝÍÉ 281 - Chaussée-d'Antin ; si cette maison ne suffisait pas , celle de Meudon pourrait servir de supplément. Les maisons reniées réservées seraient réduites aux lieux claustraux. On conserverait, pour les ordres qui n'ont que deux maisons, les Minimes de Chaillot, les...þ
ÇáÕÝÍÉ 95 - Jldèles à la nation , au roi , à la loi et à la commune de Paris. Il faut remarquer que le roi est mis ici avant la loi ; et cela est conforme à la formule décrétée par l'Assemblée nationale, le io août, pour le serment des troupes.þ