Œuvres complètes de Voltaire: Essai sur les mœurs. 1878Garnier frères, 1878 |
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ÇáÕÝÍÉ 551 - ... pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre ; en un mot, pour me mettre en tutelle entre vos mains. C'est une envie qui ne prend guère...þ
ÇáÕÝÍÉ 542 - ... si vous perdez vos enseignes, cornettes ou guidons, ralliez-vous à mon panache blanc; vous le trouverez toujours au chemin de l'honneur et de la victoire.þ
ÇáÕÝÍÉ 541 - Peuds-toi, brave Crillon ; nous avons combattu à Arques, et tu n'y étais pas. Adieu, mon ami, je vous aime à tort et à travers.þ
ÇáÕÝÍÉ 345 - ... de la jeunesse, souvent de la haute naissance, pour soulager dans les hôpitaux ce ramas de toutes les misères humaines dont la vue est si humiliante pour l'orgueil humain, et si révoltante pour notre délicatesse. Les peuples séparés de la communion romaine n'ont imité qu'imparfaitement une charité si généreuse ; mais aussi cette congrégation si utile est la moins nombreuse.þ
ÇáÕÝÍÉ 568 - C'est un mal bien douloureux que le domestique! Toutes les gehennes que peut recevoir un esprit sont sans cesse exercées sur le mien. Je dis toutes ensemble. Plaignez-moi, mon âme, et n'y portez point votre espèce de tourment : c'est celui que j'appréhende le plus. Je pars vendredi et vais à Clérac. Je retiendrai votre précepte de me taire.þ
ÇáÕÝÍÉ 272 - Gentille Agnès , plus d'honneur en mérite , La cause étant de France recouvrer, Que ce que peut dedans un cloître ouvrer , Close nonain , ou bien dévot ermite.þ
ÇáÕÝÍÉ 514 - On leur accorde que cet article est certain ; mais que, si dans cent mille endroits de la terre, deux ou trois personnes...þ
ÇáÕÝÍÉ 565 - Ils l'ont empoisonné, les traîtres ; si est-ce que Dieu demeurera le maître, et moi par sa grâce l'exécuteur? Ce pauvre prince, non de cœur, jeudi ayant couru la bague, soupa se portant bien; à minuit lui prit un vomissement...þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - Je voudrais découvrir quelle était alors la société des hommes, comment on vivait dans l'intérieur des familles, quels arts étaient cultivés, plutôt que de répéter tant de malheurs et tant de combats, funestes objets de l'histoire, et lieux communs de la méchanceté humaine.þ
ÇáÕÝÍÉ 551 - Je ne vous ai point appelés, comme faisaient mes prédécesseurs, pour vous faire approuver leurs volontés. Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.þ