Cours de littérature française. Tableau de la littérature du moyen age en France, en Italie, en Espagne et en Angleterre, ÇáãÌáÏ 2Didier, 1851 |
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anglais arts assez aujourd'hui avaient avons Barbares beau belle c'était caractère célèbre chants chose chrétiens civilisation cœur commence cour d'abord d'autres Dante demande dernier devant Dieu dire don Pèdre doute écrit époque espagnol esprits états faisait Florence force forme fort Froissard génie gloire goût Grèce guerre hommes j'ai Jean jeune jour juges l'Espagne l'esprit l'histoire l'Italie laisse langue latin lettres liberté libre littérature livre Louis lui-même main ment Messieurs milieu mœurs monde montre mort moyen âge n'était nation naturel nouvelle ouvrages pape paraît parler paroles passé pays pensée père Pétrarque peuple poésie poëte porte Portugais Portugal pouvait pouvoir premier présent presque prince puissant qu'un raison récits religieux reste rien romans Rome saint sais savants science seigneur semble sentiment serait servir seul sorte souvent sujet surtout terre théâtre tour traits trouve vérité vieille vieux vive Voilà voyez vrai XIVe siècle xve siècle
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ÇáÕÝÍÉ 264 - Il tient beaucoup à cette idée de libre octroi de l'impôt. Il assure que Mahomet II , à sa mort, « se fit conscience d'une taxe qu'il avoit mise nouvellement sur ses sujets. » Et il ajoute : Or, regardez que doit faire un prince chrétien, qui n'a authorité fondée en raison de rien imposer, sans le congé et permission de son peuple. Voilà ce qu'écrivait ce confident, cet historien, ce panégyriste de Louis XI , cet homme qui a servi Louis XI dans quelques négociations à demi scélérates....þ
ÇáÕÝÍÉ 145 - Monseigneur, très grands mercis ! » Lors se leva la reine et fit lever les six bourgeois et leur ôter les chevestres (cordes) d'entour leur cou, et les emmena avec li (elle) en sa chambre, et les fit revêtir et donner à dîner tout aise, et puis donna à chacun six nobles...þ
ÇáÕÝÍÉ 204 - Le Temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye, Et s'est vestu de broderye, De soleil raiant, cler et beau. Il n'ya beste ne oiseau, Qui en son jargon ne chante ou crye ; Le Temps a laissié son manteau De vent, de froidure et de pluye.þ
ÇáÕÝÍÉ 135 - Adonc, demanda le roy de quoy il trailoit , et je luy dy : d'amour. De ceste responce fut tout resjouy; et regarda dedans le livre en plusieurs lieux, et y lisit, car moult bien parloit et lisoit François; et puis le fit prendre par un sien chevalier qui- se nommoit messire Richard Credon, et porter en sa chambre de retrait, dont il me fit bonne chère. » N'est-il pas édifiant, messieurs, d'entendre un...þ
ÇáÕÝÍÉ 89 - Hier j'étais roi de l'Espagne; aujourd'hui je ne le suis pas d'un seul village. « Hier j'avais des villes et des châteaux; aujourd'hui je n'ai rien. « Hier j'avais des créatures et un peuple qui me servait ; aujourd'hui je n'ai pas un créneau que je puisse dire à moi. « Malheureuse fut l'heure , malheureux fut le jour où je naquis et où j'héritai d'une si grande seigneurie , puisque j'avais à la perdre tout entière en un seul jour...þ
ÇáÕÝÍÉ 244 - L'acception primitive des mots, leur sens natif, et partant leur vérité, leur grâce s'est altérée, s'est effacée. On innove, non pas dans le génie de notre langue, mais contre son génie, toujours clair et précis. S'il est un préservatif contre cette erreur, c'est l'étude de l'antiquité française, en remontant jusqu'à Froissart et à Joinville. Je reprends, Messieurs, la division que j'indiquais, et je vais parcourir beaucoup de choses, dont un petit nombre mérite d'être étudié....þ
ÇáÕÝÍÉ 26 - Voi ch'ascoltate in rime sparse il suono di quei sospiri ond'io nudriva '1 core in sul mio primo giovenile errore, quand'era in parte altr'uom da quel ch'i' sono, del vario stile in ch'io piango e ragiono fra le vane speranze e '1 van dolore, ove sia chi per prova intenda amore, spero trovar pietà, non che perdono. Ma ben veggio or...þ
ÇáÕÝÍÉ 83 - Mais, avec ma main même , je vous arracherais les entrailles, mon doigt se faisant passage en place de dague ou de poignard. » Le vieillard, pleurant de joie, dit : « Fils de mon âme, ton courroux me soulage, et ton indignation me plaît. Ces bras, mon Rodrigue, montre-les pour la vengeance de mon honneur, qui était perdu, s'il n'est reconquis et gagné par toi. » II lui conta son injure, et lui donna sa bénédiction, et l'épée avec laquelle Rodrigue donna la mort au comte, et commencement...þ
ÇáÕÝÍÉ 144 - Ha, gentil sire, depuis que je repassai la mer en grand péril, si comme vous savez, je ne vous ai rien requis ni demandé : or vous...þ
ÇáÕÝÍÉ 145 - Ha, dame, j'aimasse trop mieux que vous fussiez autre part que cy. Vous me priez si acertes que je ne le vous ose esconduire (refuser); et combien que je le fasse enuis (avec peine) , tenez, je les vous donne , si en faites votre plaisir.þ