Quatre chapitres inédits sur la Russie

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A. Vaton, 1859 - 196 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 132 - ... par où l'on voit qu'il n'ya ni ne peut y avoir nulle espèce de loi fondamentale obligatoire pour le corps du peuple, pas même le contrat social.þ
ÇáÕÝÍÉ 184 - C'est ce qu'aucun homme d'État ne doit ignorer ni oublier. Cette secte, qui est tout à la fois une et plusieurs, environne la Russie, ou, pour mieux dire, la pénètre de toute part, et l'attaque jusque dans ses racines les plus profondes. Elle n'a pas besoin, comme dans le seizième siècle, de monter en chaire, de lever des armées, et d'ameuter publiquement les peuples. Ses moyens de nos jours sont plus adroits: elleréserve le bruit pour la fin.þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - D'autres avec plus d'art ( cédons-leur cette gloire ) Coloreront la toile , ou d'une habile main Feront vivre le marbre et respirer l'airain , De discours plus flatteurs charmeront les oreilles , Décriront mieux du ciel les pompeuses merveilles : Toi , Romain , souviens-toi de régir l'univers ! Donne aux vaincus la paix , aux rebelles des fers ; Fais chérir de tes lois la sagesse profonde : Voilà les arts de Rome et des maures du monde ! Jeune homme , Virgile le sait bien , tu seras AlexandreSévère.þ
ÇáÕÝÍÉ 20 - On peut soutenir , en thèse générale , qu'aucune souveraineté n'est assez forte pour gouverner plusieurs millions d'hommes, à moins qu'elle ne soit aidée par la religion, ou par l'esclavage, ou par l'une et l'autre. Ce qui est vrai surtout lorsque la population, quoique très-grande, considérée d'une manière absolue, cesse néanmoins d'être telle relativement à l'immensité du territoire.þ
ÇáÕÝÍÉ 134 - La loi n'est rien, si ce n'est pas un glaive qui se promène indistinctement sur toutes les têtes et qui abat ce qui s'élève au-dessus du plan horizontal sur lequel il se meut.þ
ÇáÕÝÍÉ 162 - Souvenez-vous, je vous prie, du père Tournemine votre nourrice (vous avez sucé chez lui le doux lait des Muses), et réconciliez-vous avec uu ordre qui a porté, et qui, le siècle passé, a fourni à la France des hommes du plus grand mérite.þ
ÇáÕÝÍÉ 10 - Sans doute qu'elle doit l'être ; mais quand on lit l'histoire, il faut savoir la lire. Elle prouve à l'évidence que le genre humain, en général, n'est susceptible de liberté civile, qu'à mesure qu'il est pénétré et conduit par le christianisme. Partout où règne une autre religion...þ
ÇáÕÝÍÉ 103 - Bavière il n'y a. pas le moindre doute. Son chef est connu ; ses crimes, ses projets, ses complices et ses premiers succès le sont aussi ; les règlements de la secte ont été saisis, publiés par le gouvernement, traduits en français, et imprimés de nouveau par l'abbé Barruel dans son intéressante Histoire du jacobinisme. Ainsi, à cet égard, il n'ya plus rien à dire. La société s'est encore fait connaître en Italie d'une manière assez frappante; puisque ses règlements ont clé saisis...þ
ÇáÕÝÍÉ 99 - ... inconnus même des initiés admis à leurs assemblées ordinaires, qu'ils avaient un culte, et de hauts initiés ou espèce de prêtres, qu'ils appelaient du nom hébreu COHEN ' et il a observé dès lors que tous ces grands initiés ont donné dans la révolution (mais à la vérité jamais dans les excès). Il leur a reconnu aussi , en général , une antipathie naturelle contre l'ordre sacerdotal et contre toute hiérarchie. A cet égard, il n'a jamais vu d'exceptions. Tous regardent les prêtres,...þ
ÇáÕÝÍÉ 185 - Si vous ne voulez pas lui permettre de mordre les voleurs, c'est votre aflaire ; mais laissez-le rôder au moins autour de la maison, et vous éveiller lorsqu'il sera nécessaire, avant que vos portes soient crochetées, ou qu'on entre chez vous par les fenêtres.þ

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