Les causes de nos malheurs: appel au peupleLes Éditions Fardin, 1882 - 129 من الصفحات |
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1er Avril accusé actes administration amis appelé Archin avaient avez Boisrond Canal Boyer Bazelais c'était candidature Cap-Haïtien cause Chambre des Communes chef d'Etat chose citoyens civiques Comité communale comte de Plymouth concitoyens conduite conscience Conseil conséquence Constitution de 1867 constitutionnelle coup d'Hérissé déclare député despotisme devant devoir dire Domingue drapeau échiquier politique Ethéart eût force fût général Gonaïves gouvernement Haïti hommes j'ai j'avais Jacmel Jamaïque jours jugement jusqu'à justice Kingston l'autorité l'exil l'homme l'honneur laisser Lamour légale législative libéral lois lutte Lysius Salomon main mandat ment ministre morale n'avait Napoléon 1er Nation nationale Nissage Saget pacte Palais passions Patrie patriotisme pays peine de mort pensée personne Peuple haïtien politique Port-au-Prince porter pouvait Pouvoir Exécutif Président d'Haïti Président Geffrard principes public publique question raison République reste révolution Rue Pavée s'est s'était Salnave Salo Secrétaire d'Etat Sénat sénateur sentiment sera seulement sort Soulouque Thoby tion vote
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الصفحة 60 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
الصفحة 61 - La maison de toute personne habitant le territoire français, est un asile inviolable. — Pendant la nuit, nul n'a le droit d'y entrer que dans le cas d'incendie, d'inondation, ou de réclamation faite de l'intérieur de la maison. — Pendant le jour, on peut y entrer pour un objet spécial déterminé ou par une loi, ou par un ordre émané d'une autorité publique.
الصفحة 62 - Si le directoire est informé qu'il se trame quelque conspiration contre la sûreté extérieure ou intérieure de l'État, il peut décerner des mandats d'amener et des mandats d'arrêt contre ceux qui en sont présumés les auteurs ou les complices: il peut les interroger ; mais il est obligé, sous...
الصفحة 62 - Exécutif acquiert sans cesse une plus grande intensité de force ? Nous vous proposons, Citoyens, qu'aucune somme ne sorte du Trésor public sans la signature du Secrétaire d'Etat, qui, placé auprès du Sénat, sera toujours prêt à lui rendre compte de ses opérations. Il est juste que le Peuple, dont les contributions forment les revenus de l'Etat, soit instruit de l'emploi qui en a été fait. S'il en était autrement; si, comme dans les Monarchies, le Trésor Public devenait le Trésor d'un...
الصفحة 61 - Art. 31. Nul ne peut être empêché de dire, écrire et publier sa pensée. Les écrits ne pourront être soumis à aucune censure avant leur publication. Nul n'est responsable de ce, qu'il a publié que dans les cas prévus par la loi.
الصفحة 106 - Tous les devoirs de l'homme et du citoyen dérivent de ces deux principes, gravés par la nature dans tous les cœurs : — Ne faites pas à autrui ce que vous ne voudriez pas qu'on vous fît. — Faites constamment aux autres le bien que vous voudriez en recevoir.
الصفحة 125 - ... votre exil est une conséquence naturelle de la marche que vous suivez constamment depuis plusieurs années. Il m'a paru que l'air de ce pays-ci ne vous convenait point, et nous n'en sommes pas encore réduits à chercher des modèles dans les peuples que vous admirez.
الصفحة 60 - Celui qui, sans enfreindre ouvertement les lois, les élude par ruse ou par adresse, blesse les intérêts de tous : il se rend indigne de leur bienveillance et de leur estime.
الصفحة 62 - ... loi, recevront ou retiendront la personne arrêtée, dans un lieu de détention non publiquement et légalement désigné comme tel, et tous les gardiens ou geôliers qui contreviendront aux dispositions des trois articles précédents, seront coupables du crime de détention arbitraire.
الصفحة 61 - ... cas d'incendie, d'inondation, ou de réclamation venant de l'intérieur de la maison. — Pendant le jour, on peut y exécuter les ordres des autorités constituées. — Aucune visite domiciliaire ne peut avoir lieu qu'en vertu d'une loi, et pour la personne ou l'objet expressément désigné dans l'acte qui ordonne la visite.