Théorie de pouvoir, politique et religieux, dans la société civile, démontrée par le raisonnement ét par l'histoire: suivie de La théorie de l'éducation sociale, et de l'administration publique, ÇáãÌáÏ 1A. Le Clere, 1854 |
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avaient besoins Bonald Bossuet c'est-à-dire caractère ciété citoyens climat conservation Contrat social corps social Danemark démocratie dépositaires des lois despotisme destruction détruire dire distinctions sociales distinguer doit Esprit des lois Etats généraux eût existe extérieure famille fixes fonctions force générale force publique Germains Grecs guerre Hénault héréditaire hommes institutions l'amour l'Esprit des lois l'Etat l'Europe l'homme physique l'impôt l'oppression l'univers législateur liberté lois fondamentales lois politiques malheurs ment militaire ministres mœurs monarchie monarque Montesquieu moral n'était nation nature de l'homme nature des choses noblesse objet passions peuple philosophie pouvait pouvoir général pouvoir particulier pouvoir unique président Hénault principe professions sociales propriétaire propriété puissance qu'une raison rapports nécessaires religion publique république république romaine révolution rois Romains Rome Rousseau royauté sera seul sion société civile société constituée société naturelle société politique société religieuse sociétés non constituées souverain sujet Théorie du pouvoir tion toyens vérité vertu veut volonté générale volonté particulière
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ÇáÕÝÍÉ 398 - Je suppose trois définitions, ou plutôt trois faits : l'un que « le gouvernement républicain est celui où le peuple en corps, ou seulement une partie du peuple a la souveraine puissance ; le monarchique, celui où un seul gouverne, mais par des lois fixes et établies ; au lieu que, dans le despotique, un seul, sans loi et sans règle, entraîne tout par sa volonté et par ses caprices».þ
ÇáÕÝÍÉ 130 - Mais ce n'est point elle seule qui enseigne à l'homme la liberté, le devoir, la distinction du bien et du mal, du juste et de l'injuste...þ
ÇáÕÝÍÉ 274 - C'est un beau spectacle que celui des lois féodales. Un chêne antique s'élève ' ; l'œil en voit de loin les feuillages : il approche ; il en voit la tige , mais il n'en aperçoit point les racines : il faut percer la terre pour les trouver.þ
ÇáÕÝÍÉ 197 - Il ya souvent bien de la différence entre la volonté de tous et la volonté générale; celle-ci ne regarde qu'à l'intérêt commun; l'autre regarde à l'intérêt privé, et n'est qu'une somme de volontés particulières...þ
ÇáÕÝÍÉ 456 - Ce sont les institutions nationales qui forment le génie , le caractère , les goûts et les mœurs d'un peuple , qui le font être lui et non pas un autre , qui lui inspirent cet ardent amour de la patrie fondé sur des habitudes impossibles à. déraciner...þ
ÇáÕÝÍÉ 304 - Il avoit cet inconvénient que le bas peuple y étoit esclave : c'étoit un bon gouvernement qai avoit en soi la capacité de devenir meilleur. La coutume vint d'accorder des lettres d'affranchissement; et bientôt la liberté civile du peuple, les prérogatives de la noblesse et du clergé, la puissance des rois, se trouvèrent dans un tel concert que je ne crois pas qu'il y ait eu sur la terre de gouvernement si bien tempéré que Je fut celui de chaque partie de l'Europe dans le temps qu'il y...þ
ÇáÕÝÍÉ 442 - ... l'État ne cessera d'être agité jusqu'à ce qu'il soit détruit ou changé, et que l'invincible nature ait repris son empire.þ
ÇáÕÝÍÉ 394 - Scandinavie, a parlé de cette grande prérogative qui doit mettre les nations qui l'habitent au-dessus de tous les peuples du monde : c'est qu'elles ont été la source de la liberté de l'Europe, c'est-à-dire de presque toute celle qui est aujourd'hui parmi les hommes. Le Goth Jornandès a appelé le nord de l'Europe la fabrique du genre humain : je l'appellerai plutôt la fabrique des instruments qui brisent les fers forgés au midi.þ
ÇáÕÝÍÉ 411 - ... c'est comme s'ils composaient l'homme de plusieurs corps, dont l'un aurait des yeux, l'autre des bras, l'autre des pieds; et rien de plus.þ
ÇáÕÝÍÉ 198 - En effet, s'il n'est pas impossible qu'une volonté particulière s'accorde sur quelque point avec la volonté générale, il est impossible au moins que cet accord soit durable et constant ; car la volonté particulière tend par sa nature aux préférences, et la volonté générale à l'égalité.þ