Oeuvres de J.J. Rousseau, ÇáãÌáÏ 5 |
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abus acte affaires aisément assez aura avantages avoit besoin cause changer CHAPITRE chefs choses citoyens commun compte confédération conseil conserver considérer contraire Contrat social corps cours d'en d'être diéte différents dire doit doivent donner effet également enfin établir état étoient étoit fond force forme générale gens gouvernement Grecs guerre hommes institution intérêt j'ai jours jugement l'autre l'état l'ordre l'un laisser législation liberté libre lieu lois lui-même magistrats manière meilleur membres ment mieux monde moyen n'en nation nature naturel nécessaire nombre nonces parler particuliers passer patrie pays personne petits peuple place Pologne Polonois porter possible pouvoir premier présente presque prince projet proposer propre public publique puissance puisse qu'à qu'un raison rapport régler remplir rendre république reste rien rois Romains Rome s'il second sénat sénateurs sent sera seroit seul simple social soient sorte souverain sujets surtout tion tirer traité trouve veut Voilà voit voix volonté vrai yeux
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ÇáÕÝÍÉ 141 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...þ
ÇáÕÝÍÉ 129 - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social , de sa puissance , de ses biens , de sa liberté , c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté ; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.þ
ÇáÕÝÍÉ 210 - La souveraineté ne peut être représentée , par la même raison qu'elle ne peut être aliénée ; elle consiste essentiellement dans la volonté générale , et la volonté ne se représente point : elle est la même , ou elle est autre; il n'ya point de milieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 113 - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.þ
ÇáÕÝÍÉ 298 - C'est l'éducation qui doit donner aux âmes la forme nationale , et diriger telleI ment leurs opinions et leurs goûts , qu'elles soient patriotes par inclination , par passion , par nécessité.þ
ÇáÕÝÍÉ 117 - Quoiqu'il se prive dans cet état de plusieurs avantages qu'il tient de la nature, il en regagne de si grands, ses facultés s'exercent et se développent, ses idées s'étendent, ses sentiments s'ennoblissent, son...þ
ÇáÕÝÍÉ 210 - Le peuple anglais pense être libre, il se trompe fort; il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement : sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.þ
ÇáÕÝÍÉ 126 - On veut toujours son bien, mais on ne le voit pas toujours : jamais on ne .corrompt le peuple, mais souvent on le trompe, et c'est alors seulement qu'il paraît vouloir ce qui est mal.þ
ÇáÕÝÍÉ 114 - A l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de peuple, et s'appellent en particulier citoyens, comme participant à l'autorité souveraine, et sujets, comme soumis aux lois de l'État.þ
ÇáÕÝÍÉ 155 - ... il ne faut pas entendre par ce mot que les degrés de puissance et de richesse soient absolument les mêmes, mais que, quant à la puissance, elle soit audessous de toute violence et ne s'exerce jamais qu'en vertu du rang et des lois et, quant à la richesse, que nul citoyen ne soit assez opulent pour en pouvoir acheter un autre, et nul assez pauvre pour être contraint de se vendre.þ