L'Année littéraire, ou, Suite des lettres sur quelques écrits de ce temps, ÇáãÌáÏ 6

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ÇáÕÝÍÉ 301 - par herbe aucunement : Non pour avoir ma place au Firmament ; Car en la terre habite mon plaifir : Non pourþ
ÇáÕÝÍÉ 127 - bienfait de corps, ayant la jambe un peu trop fournie par le bas , & les cheveux blancs , quoiqu'il neþ
ÇáÕÝÍÉ 127 - de beau linge & des Livres ; que le Gouverneur & les Officiers reftoient devant lui debout & découvertsþ
ÇáÕÝÍÉ 191 - cher objet à qui j'ai pu déplaire Ne peut pour mon fupplice avoir trop de colère.þ
ÇáÕÝÍÉ 193 - Je ne m'étonne plus de cette violence Dont il contraint Augufte à garder faþ
ÇáÕÝÍÉ 299 - Car à du Maine il remit cet Empire ; Non pour courir autour de l'Univers ; . Car vivreþ
ÇáÕÝÍÉ 208 - a moins de droit au trône que le dernier Officier de l'armée.þ
ÇáÕÝÍÉ 128 - fon foldat , s'il avoit trouvé un autre homme à fa place ? Dans toutes les citadelles ou châteaux où l'on renfermeþ
ÇáÕÝÍÉ 316 - Cette collection, dans le cabinet d'un homme de Lettres , d'un amateur ou d'un curieux , eft une bibliothèque entière qui peut lui tenir lieu deþ
ÇáÕÝÍÉ 31 - & deshonore. L'Amitié n'eft qu'un mot à la bouche échappé , Le tendre fentiment s'y voit toujours trompé, Et la nature même y paroîtþ

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