Observations sur le contrat social de J.J. RousseauMérigot le jeune, 1789 - 303 ãä ÇáÕÝÍÇÊ |
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
Aristote Athènes auroit auteur avoit Berthier blique c'est-à-dire chose chré chrétienne christianisme citoyens civile climat Contrat social conventions corps de l'état démocratie despotisme Dieu dire dit-il doctrine enfans esclaves Esprit des lois étoient étoit faudroit galité gislative gistrats gouver gouvernemens gouvernement Grotius guerre hommes Isaïe justice l'aristocratie l'au l'auteur du contrat l'autorité l'Esprit des lois l'état l'homme liberté liers lois magistrats maître ment mocratie monar monarchie monarque Montesquieu observer par-tout paroît particu passions père petits états peuple philosophe politique pouvoir législatif presque princes principe Puffend Puffendorf puissance législative puisse punir qu'un rain raison reconnoît religion républiques rois Rome Rousseau sance seroit seul société souve souverain souveraineté sujets suppose sureté systême Tarquin le Superbe teur du Contrat tion toyens trat tyrannie verain veraineté vérité vernement vertu veut vice volonté générale volontés particulières vrai
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 154 - puissant, afin que cette puissance étant la sienne, le rendît redoutable à ses voisins ; mais comme cet intérêt n'est que secondaire et subordonné, et que les deux suppositions sont incompatibles, il est naturel que les princes donnent toujours la préférence à la maxime qui leur est le plus immédiatement utileþ
ÇáÕÝÍÉ 159 - Un défaut essentiel et inévitable, qui mettra toujours le gouvernement monarchique au dessous du républicain, est que, dans celui-ci, la voix publique n'élève presque jamais aux premières places, que des hommes éclairés qui les remplissent avec honneur ; au lieu que ceux qui parviennent dans les monarchies , ne sont, le plus souvent, que de petits brouillons, de petits fripons , de petitsþ
ÇáÕÝÍÉ 9 - ordre social est un droit sacré qui sert de base à tous les autres. Cependant ce droit ne vient point de la nature ; il est donc fondé sur des conventions (1).þ
ÇáÕÝÍÉ 186 - Quand tout le Midi seroit couvert de républiques , et Tout le Nord d'états despotiques, il n'en seroit pas moins vrai que, par l'effet du climat, le despotisme convient aux pays chauds, la barbarie aux pays froids, et la bonne politique aux régions intermédiairesþ
ÇáÕÝÍÉ 42 - de se donner à un roi : ce don même est un acte civil ; il suppose une délibération publique. Avant donc que d'examiner l'acte par lequel un peuple élit un roi , il seroit bon d'examiner l'acte par lequel un peuple est un peuple.þ
ÇáÕÝÍÉ 159 - qui les remplissent avec honneur ; au lieu que ceux qui parviennent dans les monarchies , ne sont, le plus souvent, que de petits brouillons, de petits fripons , de petitsþ
ÇáÕÝÍÉ 15 - ne restent-ils liés au père qu'aussi long-temps qu'ils ont besoin de lui pour se conserver : sitôt que ce besoin cesse , le lien naturel se dissout ; les enfans, exempts deþ
ÇáÕÝÍÉ 108 - intermédiaires , dont les rapports composent celui du tout au tout, ou du souverain à l'état. On peut représenter ce dernier rapport, par celui des extrêmes d'une proportion continue, dont la moyenne proportionnelle est le gouvernement.þ
ÇáÕÝÍÉ 66 - La volonté générale est toujours droite , et tend toujours à l'utilité publique.. . Jamais on ne corrompt le peuple, mais souvent on le trompeþ