Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, ÇáãÌáÏ 3 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
affaire appellé armée arrivé assem assemblée auroit avocat avoient avoit château Châtelet chef chose comité commença compte comte conduite conjurés conseil convention corps côté cours d'autre d'être d'Or d'Orléans déclarer décret demande département députés dernier devoit dire donner écrit effet enfin entière étoient étoit faction famille famille royale Fayette fidélité fils force François fût garde général gens heures hommes j'ai jacobins jetté jour journée jugement l'assemblée nationale laisser léans lettre liberté lieu livres Louis XVI mains malheureux manière Marat marquis membre ment mettre mille ministres monarque mort n'avoit n'étoit nation nombre nouveau nouvelle officiers orléanistes parlement passer pendant père personnes Pétion peuple place porter pouvoit premier présent prince prison prononcer propre public publique qu'un rapport reine rendre reste révolution rien Robespierre royale s'il sang seroit servi seul société sorte tems tête tion tribunal trône trouva vérité voit vues
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 248 - Au reste quand ce grand Dieu a choisi quelqu'un pour être l'instrument de ses desseins, rien n'en arrête le cours; ou il enchaîne , ou il aveugle , ou il dompte tout ce qui est capable de résistance.þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - Reine, qui partage tous mes sentiments, je préparerai de bonne heure l'esprit et le cœur de mon fils au nouvel ordre de choses que les circonstances ont amené. Je l'habituerai dès ses premiers ans à être heureux du bonheur des...þ
ÇáÕÝÍÉ 36 - ... particulières, les oppositions, les haines malheureuses qui sont la suite inévitable des longues dissensions, la situation critique des finances et les incertitudes sur la fortune publique, enfin, l'agitation générale des esprits, tout semble se réunir pour entretenir l'inquiétude des véritables amis de la prospérité et du bonheur du royaume.þ
ÇáÕÝÍÉ 133 - J'oserai dire qu'après avoir fait tant de sacrifices à l'intérêt du peuple et à la cause de la liberté, il ne m'est plus permis de sortir de la classe de simple citoyen où je ne me suis placé qu'avec la ferme résolution d'y rester toujours, et que l'ambition serait en moi une inconséquence inexcusable.þ
ÇáÕÝÍÉ 39 - Après vous avoir ainsi préservés des grandes contrariétés qui pouvaient si aisément traverser vos soins et vos travaux, je crois le moment arrivé où il importe à l'intérêt de l'État que je m'associe d'une manière encore plus expresse et plus manifeste à l'exécution et à la réussite de tout ce que vous avez concerté pour l'avantage de la France. Je ne puis saisir une plus grande occasion...þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - Ne professons tous, à compter de ce jour, ne professons tous, je vous en donne l'exemple, qu'une seule opinion, qu'un seul intérêt, qu'une seule volonté, l'attachement à la constitution nouvelle et le désir ardent de la paix...þ
ÇáÕÝÍÉ 59 - Plus je vois s'approcher la journée du 14 juillet, plus je me confirme dans l'idée qu'elle doit inspirer autant de sécurité que de satisfaction. Ce sentiment est surtout fondé sur les dispositions patriotiques de tous les citoyens, sur le zèle de la garde nationale parisienne , sur celui de nos frères d'armes...þ
ÇáÕÝÍÉ 37 - Une volonté suivie, un effort général et commun sont absolument nécessaires pour obtenir un succès véritable. Continuez donc vos travaux sans autre passion que celle du bien ; fixez toujours votre première attention sur le sort du peuple et sur la liberté publique ; mais occupez-vous aussi d'adoucir, de calmer toutes...þ
ÇáÕÝÍÉ 36 - Messieurs, la gravité des circonstances où se trouve la France, m'attire au milieu de vous. Le relâchement progressif de tous les liens...þ
ÇáÕÝÍÉ 239 - Je me retirai , en voulant retenir des larmes qui coulaient malgré moi , et bien résolu de finir là mon ministère. Je m'en ouvris à un de mes collègues qui n'avait pas plus de fermeté que moi pour le continuer, et je lui dis , avec ma franchise ordinaire : Mon ami , les prêtres membres de la convention , en votant pour la mort, quoique la sainteté de leur caractère le leur defendit , ont formé la majorité qui nous délivre du tyran.þ
ãÚáæãÇÊ ÇáãÑÇÌÚ
| ÇáÚäæÇä | Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, ÇáãÌáÏ 3 Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans ... surnommé Égalité, Galart de Montjoie ÇáãÌáÏ 3 ãä Histoire de la conjuration de Louis-Philippe-Joseph d'Orléans,: Premier prince du sang, duc d'Orléans, de Chartres, de Nemours, de Montpensier & d'Etampes, comte de Beaujolais, de Vermandois et de Soissons, surnommé Egalité, Galart de Montjoie |
| ÇáãÄáÝ | Galart de Montjoie |
| ãäÔæÑ | 1796 |
| ÃÕáí ãä | ãßÊÈÉ äíæíæÑß ÇáÚÇãÉ |
| ÇáßÊÈ ÐÇÊ ÇáÊäÓíÞ ÇáÑÞãí | 23 ÂÐÇÑ (ãÇÑÓ) 2007 |
| ÊÕÏíÑ ÇáÇÞÊÈÇÓ | BiBTeX EndNote RefMan |