Œuvres complètes de Chateaubriand, ÇáÚÏÏ 5558¡ÇáãÌáÏ 2 |
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âme anciens arts avoient avoit avons beau beauté belle cæur caractère cause chants CHAPITRE charmes chercher chevaliers chose chrétiens christianisme ciel corps côté coup cour dernier déserts Dieu dieux dire divine dogmes doit donne doute élevé enfants enfin esprit étoient étoit femme fille fils fond force forme frères général génie genre Grecs haut hommes humain idées Indiens jeune jours l'âme l'auteur l'autre l'Église l'esprit l'histoire l'homme laissé lettres lieu livre loin lois Louis main malheur manière ment mère merveilleux milieu monde montre morale mort mouvement nature naturel note nouvelle nuit ouvrage parler passe passions peine pensée père petits peuple peut-être philosophie pieds place poëte porte premier présent prêtre qu'un raison rapports religieux religion remarquer reste rien s'il sacré saint sauvages sciences second semble sentiments seul siècle soleil sorte souvent sublime sujet tableau terre tombe tombeau touchant tour traits trouve vérité vertu voit voix Voyez yeux
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ÇáÕÝÍÉ 343 - Notre chair change bientôt de nature : notre corps prend un autre nom ; même celui de cadavre, dit Tertullien M, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps ; il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue...þ
ÇáÕÝÍÉ 204 - Misérable ! et je vis ! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Ils s'aimeront toujours!þ
ÇáÕÝÍÉ 183 - Des dieux que nous servons connais la différence : Les tiens t'ont commandé le meurtre et la vengeance , Et le mien , quand ton bras vient de m'assassiner, M'ordonne de te plaindre et de te pardonner.þ
ÇáÕÝÍÉ 249 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser ; Et moi, je lui tendais les mains pour l'embrasser ; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...þ
ÇáÕÝÍÉ 189 - Où menez-vous ces enfants et ces femmes * ? Le Seigneur a détruit la reine des cités, Ses prêtres sont captifs, ses rois sont rejetés ; Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - ... c'est d'elle seule que les hommes bienheureux sont nourris; elle sort d'eux et elle y entre ; elle les pénètre et s'incorpore à eux comme les aliments s'incorporent à nous. Ils la voient , ils la sentent, ils la respirent ; elle fait naître en eux une source intarissable de paix et de joie.þ
ÇáÕÝÍÉ 204 - Hélas ! Du crime affreux dont la honte me suit, Jamais mon triste cœur n'a recueilli le fruit.þ
ÇáÕÝÍÉ 315 - Le dernier acte est sanglant, quelque belle que soit la comédie en tout le reste. On jette enfin de la terre sur la tête, et en voilà pour jamais.þ
ÇáÕÝÍÉ 177 - Ton Dieu que tu trahis , ton Dieu que tu blasphèmes , Pour toi, pour l'univers, est mort en ces lieux mêmes, En ces lieux où mon bras le servit tant de fois , En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres : Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...þ
ÇáÕÝÍÉ 319 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants; c'est ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.þ