Ami de la religion et du roi: journal ecclésiastique, politique et littéraire, ÇáãÌáÏ 34

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A. LeClere., 1823
 

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ÇáÕÝÍÉ 223 - D'arbitres de la paix, de foudres de la guerre ; Comme ils n'ont plus de sceptre, ils n'ont plus de flatteurs ; Et tombent avec eux d'une chute commune Tous ceux que leur fortune Faisait leurs serviteurs.þ
ÇáÕÝÍÉ 223 - C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux : Ce qu'ils peuvent n'est rien ; ils sont comme nous sommes Véritablement hommes, Et meurent comme nous.þ
ÇáÕÝÍÉ 248 - Ils ne feront au prône aucune publication étrangère à l'exercice du culte, si ce n'est celles qui seront ordonnées par le gouvernement.þ
ÇáÕÝÍÉ 367 - Que Ferdinand VII soit libre de donner à ses peuples les institutions qu'ils ne peuvent tenir que de lui, et qui, en assurant leur repos, dissiperaient les justes inquiétudes de la France; dès ce moment, les hostilités cesseront; j'en prends devant vous, Messieurs, le solennel engagement.þ
ÇáÕÝÍÉ 100 - Vincent léguera donc à la postérité une congrégation nouvelle , immortel ornement de l'Église catholique ; une association d'héroïnes chrétiennes , dont il ne sera pas moins l'inventeur que le fondateur , laquelle donnera aux pauvres des servantes , des amies , des mères tendres , qui ne leur manqueront jamais. On verra donc les Filles de la Charité remplissant à la fois les fonctions de Marie comme celles de Marthe , mêlant heureusement l'activité du zèle au saint recueillement de...þ
ÇáÕÝÍÉ 238 - Majesté ne balancera pas même à vous rappeler de Madrid , et à chercher ses garanties dans des dispositions plus efficaces, si ses intérêts essentiels continuent à être compromis , et s'il perd l'espoir d'une amélioration qu'il se plaît à attendre des sentimens qui ont si longtemps uni les Espagnols et les Français dans l'amour de leurs rois et d'une sage liberté.þ
ÇáÕÝÍÉ 367 - J'ai ordonné le rappel de mon ministre : cent mille Français, commandés par un prince de ma famille, par celui que mon cœur se plaît à nommer mon fils, sont prêts à marcher en invoquant le Dieu de saint Louis, pour conserver le trône d'Espagne à un petit-fils d'Henri IV, préserver ce beau royaume de sa ruine, et le réconcilier avec l'Europe.þ
ÇáÕÝÍÉ 288 - C'est au nom de leurs premiers intérêts, c'est au nom de la conservation de l'ordre social et au nom des générations futures, qu'ils le réclament. Qu'ils soient tous pénétrés de cette grande vérité, que le pouvoir remis entre leurs mains est un dépôt sacré, dont ils ont à rendre compte et à leurs ' Peuples et à la postérité, et qu'ils encourent une responsabilité sévère, e...þ
ÇáÕÝÍÉ 367 - IV, préserver ce beau royaume de sa ruine, et le réconcilier avec l'Europe. «Nos stations vont être renforcées dans les lieux où notre commerce maritime a besoin de cette protection.þ
ÇáÕÝÍÉ 367 - Si la guerre est inévitable, je mettrai tous mes soins à en resserrer le cercle, à en borner la durée. Elle ne sera entreprise que pour conquérir la paix que l'état de l'Espagne rendrait impossible.þ

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