Histoire de l'assistance publique dans les temps anciens et modernes

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Guillaumin, 1866 - 568 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 505 - Les malheureux sont les puissances de la terre; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.þ
ÇáÕÝÍÉ 160 - Celui qui aime son père ou sa mère plus que moi, n'est pas digne de moi; et qui aime son fils ou sa fille plus que moi, n'est pas digne de moi.þ
ÇáÕÝÍÉ 351 - Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté.þ
ÇáÕÝÍÉ 489 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.þ
ÇáÕÝÍÉ 423 - Dieu en donnant à l'homme des besoins , en lui rendant nécessaire la ressource du travail, a fait, du droit de travailler, la propriété de tout homme ; et cette propriété est la première, la. plus sacrée et la plus imprescriptible de toutes.þ
ÇáÕÝÍÉ 420 - II paraît que, lorsque les villes commencèrent à s'affranchir de la servitude féodale et à se former en communes, la facilité de classer les citoyens par le moyen de leur profession introduisit cet usage inconnu jusqu'alors.þ
ÇáÕÝÍÉ 97 - Si chaque instrument pouvait, sur un ordre reçu, ou même deviné, travailler de lui-même, comme les statues de Dédale, ou les trépieds de Vulcain, « qui se rendaient seuls, dit le poète, aux réunions des dieux,» si les navettes tissaient toutes seules ; si l'archet jouait tout seul de la cithare, les entrepreneurs se passeraient d'ouvriers, et les maîtres, d'esclaves (3).þ
ÇáÕÝÍÉ 99 - Au reste, l'utilité des animaux privés, et celle des esclaves sont à peu près les mêmes : les uns comme les autres, nous aident, par le secours de leurs forces corporelles, à satisfaire les besoins de l'existence.* (/fciW.þ
ÇáÕÝÍÉ 99 - La nature même le veut, puisqu'elle fait les corps des hommes libres différents de ceux des esclaves, donnant à ceux-ci la vigueur nécessaire dans les gros ouvrages de la société, rendant au contraire ceux-là incapables de courber leur droite stature à ces rudes labeurs, et les destinant seulement aux fonctions de la vie civile, qui se partage pour eux entre les occupations de la guerre et celles de la paix. Souvent il arrive, j'en conviens, que les uns n'ont d'hommes libres que le corps,...þ
ÇáÕÝÍÉ 399 - ... voyez maintenant si vous voulez aussi les abandonner. Cessez d'être leurs mères, pour devenir à présent leurs juges: leur vie et leur mort sont entre vos mains; je m'en vais prendre les voix et les suffrages: il est temps de prononcer leur arrêt, et de savoir si vous ne voulez plus avoir de miséricorde pour eux. Ils vivront si vous continuez d'en prendre un charitable soin ; et, au contraire, ils mourront et périront infailliblement si vous les abandonnez : l'expérience ne vous permet...þ

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