 | Antoine-François Bertrand-de-Molleville - 1802 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 14
...ma conscience, à mes » sermens : je le devois à la patrie , à vous , au » roi , et sur-tout à moi-même , à qui les chances » de la guerre ne permettent pas d'ajourner les » observations que je crois utiles, et qui aime à » penser que l'assemblée nationale y trouvera... | |
 | François-Emmanuel Toulongeon - 1801
...obéi à ma conscience , à mes serments; je le devais à la patrie , à vous, au roi, et surtout à moi-même, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les v;' * observations que je crois utiles , et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera... | |
 | Lallement (M., Guillaume) - 1820
...obéi à ma conscience , à mes sermens ; je le devais à la patrie , à vous , au roi , et surtout à moi-même, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois ntiles , et qui aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | 1821
...obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moimême, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Saint Albin Berville, François Barrière - 1821
...obéi à ma conscience , à mes sermeiis ; je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout à moimême, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Jacques-Pierre Brissot de Warville - 1832
...j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens-, je le devais à la patrie, à vous, au roi et surtout à moimême à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles ; et j'aime à penser que l'Assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Bernard Sarrans - 1832
...obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au Roi, et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Bernard Alexis Sarrans - 1832
...obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie , à vous , au Roi , et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Du Motier marquis de Lafayette - 1837
...j'ai obéi h ma conscience, a mes sermens : je le devais à la patrie, à vous, au roi, et surtout h moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
 | Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Du Motier marquis de Lafayette - 1837
...obéi à ma conscience, à mes sermens : je le devais à la patrie, à vous, an roi, et surtout à moi-même, à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que l'assemblée nationale y trouvera un nouvel... | |
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Messieurs, j'ai obéi à ma conscience, à mes sermens ; je le devais à la patrie, à vous, au Roi, et surtout à moi-même , à qui les chances de la guerre ne permettent pas d'ajourner les observations que je crois utiles, et qui aime à penser que... 
