...recueilli à ma naissance, et à » l'ombre duquel ma jeunesse s'était écoulée , j'a» vais entend u -le vent du doute qui de toutes parts » en battait les murs et l' ébranlait jusque dans ses » fondements. » La divinité du christianisme une fois mise en » doute...

...Mais, dans le lenips où j'étais né, il était impossible que ce bonheur » fut durable; et le jour était venu où, du sein de ce paisible édifice de...recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma jeu» uesse s'était écoulée, j'avais entendu le veut du doute qui de tontes » parts en battait...

...questions qui peuvent intéresser l'hom» me. Mais le jour était venu où, du sein de ce pai» sible édifice de la religion qui m'avait recueilli à » ma naissance , et à l'ombre de laquelle ma paisible » jeunesse s'était écoulée , j'avais entendu le vent du » doute qui ,...

...paisible édifice dela religion qui m'a• « vait recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma «jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le...murs , et « l'ébranlait jusque dans ses fondements. « La divinité du christianisme une fois mise en doute • aux veux de ma raison, elle avait senti...

...Mais, dans le temps où j'étais né, il était impos» sible que ce bonheur fût durable, et le jour était venu » où, du sein de ce paisible édifice...recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel » ma jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu lèvent du ' doute qui de toutes parts en battait les...

...et le jour était venu où, du sein de ce paisible édifice de la reJigion, qui m'avait recueilli a ma naissance, et à l'ombre duquel ma première jeunesse...écoulée, j'avais entendu le vent du doute qui, de toute part, en battait les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curiosité n'avait pu...

...venu où, du sein de ce paisible édifice de la reJigion, qui m'avait recueilli a ma naissance, et a l'ombre duquel ma première jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le vent du doute qui, de toute part, en battait les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. Ma curiosité n'avait pu...

...j'étais né, il était impossible que ce bonheur fut durable; et le jour était venu où, du scinde ce paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance, et à l'ombre duquel ma jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le vent du doute qui de toutes parts en battait les murs,...

...j'étais venu, il était impossible que ce bonheur fût durable, et le jour était venu où du sein du paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli...les murs et l'ébranlait jusque dans ses fondements. » Je n'oublierai jamais la soirée de décembre où le voile qui me dérobait à moi-même ma propre...

...Mais, dans le temps où j'étais né, il était impossible que ce bonheur fût durable, et le jour était venu où, du sein de ce paisible édifice de la religion qui m'avait accueilli à ma naissance et à l'ombre duquel ma jeunesse s'était écoulée, j'avais entendu le vent...