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ÇáÕÝÍÉ 24 - Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend pas nos rois.þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - J'ai toujours dans l'esprit tes yeux et ton visage, J'ai toujours Parthénice au milieu de mon cœur. Oui, depuis que tes yeux allumèrent ma flamme, Je respire bien moins en moi-même qu'en toi; L'amour semble avoir pris la place de mon âme, Et je ne vivrais plus s'il n'était plus en moi. Vous qui n'avez point vu l'illustre...þ
ÇáÕÝÍÉ 271 - ... qui, mêlant toujours le profane au sacré, voulurent l'emporter sur le baronnage et sur les rois. Peu à peu la chambre des communes est devenue la digue qui arrête tous ces torrents. La chambre des communes est véritablement la nation, puisque le roi, qui est le chef, n'agit que pour lui, et pour ce qu'on appelle sa prérogative; puisque les pairs ne sont en parlement que pour eux ; puisque les...þ
ÇáÕÝÍÉ 229 - Certes, il ne faut y chercher ni le goût, ni la mesure, ni l'art qui choisit et qui termine; mais si l'imagination pouvait se figurer un chaos intellectuel , tel que l'on a souvent décrit le chaos matériel , le Faust de Goethe devrait avoir été composé à cette époque.þ
ÇáÕÝÍÉ 272 - Le peuple anglais pense être libre ; il se trompe fort. Il ne l'est que durant l'élection des membres du Parlement : sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. Dans les courts moments de sa liberté, l'usage qu'il en fait mérite bien qu'il la perde.þ
ÇáÕÝÍÉ 202 - Quant à moi, effrayé des difficultés qui se multiplient , et convaincu de l'impossibilité presque démontrée que les langues aient pu naître et s'établir DE L'INÉGALITÉ PARMI LES HOMMES. -179 par des moyens purement humains...þ
ÇáÕÝÍÉ 270 - Comme toutes les choses humaines ont une fin, l'état dont nous parlons perdra sa liberté, il périra. Rome, Lacédémone et Carthage ont bien péri. Il périra lorsque la puissance législative sera plus corrompue que l'exécutrice.þ
ÇáÕÝÍÉ 115 - Pour moi , je l'avouerai , sitôt que je t'eus vue , Je ne résistai point, je me rendis à toi; Mes sens furent charmés , ma raison fut vaincue , Et mon cœur tout entier se rangea sous ta loi.þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - Tes yeux par leur éclat éblouissaient les miens ; La douceur de ta voix enchanta mes oreilles, Les nœuds de tes cheveux devinrent mes liens. Je ne m'arrêtai pas à ces beautés sensibles, Je découvris en toi de plus rares trésors; Je vis et j'admirai ces beautés Invisibles, Qui rendent ton esprit aussi beau que ton corps.þ
ÇáÕÝÍÉ 116 - Je ne voyais en toi rien qui ne fût aimable, Je ne sentais en moi rien qui ne fût amour. Ainsi je fis d'aimer l'heureux apprentissage; Je m'y suis plu depuis; j'en aime la douceur; J'ai toujours dans l'esprit tes yeux et ton visage, J'ai toujours Parthénice au milieu de mon cœur.þ

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