Le comte de Valmont, ou les égarements de la raison: lettres recueillies et publiées, ÇáãÌáÏ 5

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ÇáÕÝÍÉ 256 - Il faut des jus dans notre cuisine, voilà pourquoi tant de malades manquent de bouillon. Il faut des liqueurs sur nos tables, voilà pourquoi le paysan ne boit que de l'eau.þ
ÇáÕÝÍÉ 197 - Je supplie qu'on ne s'offense pas de ce que j'ai dit : je parle après toutes les histoires. Je sais très-bien qu'il n'est pas rare qu'il y ait des princes vertueux; mais je dis que dans une monarchie il est très-difficile que le peuple le soit'.þ
ÇáÕÝÍÉ 281 - ... dans tout état, où la propriété est une fois établie , il faut la regarder comme le fondement de l'ordre , de la paix et de la sûreté publique.þ
ÇáÕÝÍÉ 124 - Bien plus, loin d'attacher les cœurs des citoyens à l'Etat, elle les en détache comme de toutes les choses de la terre.þ
ÇáÕÝÍÉ 382 - On a beaucoup écrit , depuis plu fleurs années , dit-on plus bas, en faveur de la liberté du commerce des grains , & de l'exportation, avec une chaleur inconfidérée, qui a obfcurci le jugement des têtes les mieux organifées. On n'a pas fenti qu'en fe privant de fon fuperflu , fur l'efpérance d'une récolte incertaine , avant d'avoir mis en réferve une fuflifante quantité de bled , on rend précaire la vie du peuple , & qu'on l'échange contre l'or des commerçât!þ
ÇáÕÝÍÉ 295 - Roi la même fomme : mais comme je ne » la recevrais que pour la donner, j'aime mieux » que le pauvre Laboureur en profite, & qu'elle » f oit retranchée fur les Tailles.þ
ÇáÕÝÍÉ 297 - Ventre-faint-gris , repritil, je ne veux pas qu'il foit dit que mes Sujets » quittent mes Etats , pour aller vivre fous un » Prince meilleur que moi. » A l'inftant il appelle Tome I.þ
ÇáÕÝÍÉ 290 - Louis voulu;: s'alTuier par lui même de la manière donc la juftice étoit rendue ; air.fi toutes les fois qu'il féjournoit à Paris, il fe rendoit familièrement au palais , monté fur fa petite mule , fans fuite & fans s'être fait annoncer} il prenoit place parmi les juges, écoutoit les plaidoyers &t aifirtcii à toutes les délibérations.þ
ÇáÕÝÍÉ 388 - On refuse ordinairement aux guerriers une certaine finesse d'esprit dans les affaires, parce que leur Justice, accoutumée aux voies de fait, tranche hardiment, sans y regarder de trop près, et ne donne point d'exercice aux subtilités du barreau. Avec une pénétration naturelle et de la droiture, Agricola, même parmi des gens attachés aux formes judiciaires, ne parut aucunement déplacé, il avait des heures réglées pour le travail et pour le délassement.þ
ÇáÕÝÍÉ 387 - Dagncssoau, 21 août. M.) fut de s'assurer que la possession étoit légitime. Il en écrivit à l'intendant de la province '>) : « Ce que je « vous demande préférablement à toutes choses, c'est « de bien examiner, et sans aucun dessein de me fa« voriser, le droit du Roi sur cette affaire, parce que « je n'en veux point, s'il ya la moindre chose du « monde contre la justice et l'équité. Examinez l'af« faire avec autant d'exactitude que si c'étoit un Esþ

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