Le Correspondant, ÇáãÌáÏ 55 |
ãÇ íÞæáå ÇáäÇÓ - ßÊÇÈÉ ãÑÇÌÚÉ
áã äÚËÑ Úáì Ãí ãÑÇÌÚÇÊ Ýí ÇáÃãÇßä ÇáãÚÊÇÏÉ.
ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
anciens années appelle arrive assez aujourd'hui aurait avaient avant avons c'était cause Chambre chercher chose citoyen Commune compte conseil considérable Convention côté coup cours d'autres d'être déclaration demande dernier devant Dieu dire doit donner dorée doute écrit effet enfin États faisait femme fond force forme garde général gens gouvernement grec guerre haut hommes j'ai jeune jour juge jusqu'à l'esprit l'histoire l'homme l'un laisser liberté lieu livre main mars membres ment mieux mois monde montre morale mort moyen n'avait n'en n'était nationale nouveau nouvelle ouvriers parler passé pays pendant pensée père personne peuple peut-être place porte pourrait pouvait pouvoir premier présent presque pris public qu'à qu'une question raison regard représentants république reste révolution rien royalistes s'est s'était s'il saint semble sentiment serait seulement siècle société sorte souvent suivant sujet surtout Thiers tion titre traité trouve venait vérité vive voie voix vrai yeux
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 897 - Je proteste que personne n'admire Cicéron plus que je fais ; il embellit tout ce qu'il touche, il fait honneur à la parole, il fait des mots ce qu'un autre n'en saurait faire ; il a je ne sais combien de sortes d'esprit ; il est même court et véhément toutes les fois qu'il veut l'être, contre Catilina, contre Verrès, contre Antoine.þ
ÇáÕÝÍÉ 216 - Staël se trouvait alors peuplé, disait-il, de quatre à cinq tribus différentes: des membres du gouvernement présent, dont elle cherchait à conquérir la confiance; de quelques échappés du gouvernement passé, dont l'aspect déplaisait à leurs successeurs; de tous les nobles rentrés, qu'elle était à la fois flattée et fâchée de recevoir; des écrivains qui, depuis le 9 thermidor, avaient repris de l'influence, et du Corps diplomatique, qui était aux pieds du Comité de Salut public...þ
ÇáÕÝÍÉ 57 - Qu'un jeune homme. . .— Ah ! je sais ce que vous voulez dire, A répondu notre hôte : Un auteur sans défaut, La raison dit Virgile, et la rime Quinault.þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - La Convention était bloquée; quatre-vingt mille hommes armés entouraient les Tuileries. Cent soixante-trois bouches à feu, des grils et du charbon pour faire rougir les boulets, tel était l'appareil avec lequel on venait dicter des lois à la représentation nationale. On croirait à ce récit que tout Paris était armé contre nous? Il n'en était rien. De ces quatre-vingt mille hommes, soixante-quinze mille ignoraient pourquoi on leur avait fait prendre les armes. Loin de nous attaquer, ils...þ
ÇáÕÝÍÉ 861 - Arrête que tous les membres de cette assemblée prêteront, à l'instant, serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides...þ
ÇáÕÝÍÉ 944 - Sur la terre mouillée, les harnais, les armes prises dans mes attaques, nageaient dans le sang des ennemis comme dans un fleuve ; car les chars de bataille, qui enlèvent hommes et bêtes, avaient dans leur course écrasé les corps sanglants et les membres. J'entassai les cadavres de leurs soldats comme des trophées, et je leur coupai les extrémités. Je mutilai ceux que je pris vivants, comme des brins de paille, et pour punition je leur coupai les mains.þ
ÇáÕÝÍÉ 473 - On se fonde sur les chouans, sur la pauvreté publique, sur les finances, sur les Jacobins, et autres lieux communs qui font fortune depuis l'origine de la guerre. Moi, je vois un pouvoir immense entre les mains d'un homme qui saura s'en servir, et qui a pour lui l'armée et le public. Ceci est un ordre tout nouveau dans la révolution ; il faut bien se dire que les dix-huit vingtièmes des Français sont parfaitement indifférents à la république et à la monarchie ; mais qu'ils doivent être...þ
ÇáÕÝÍÉ 892 - Il paroit en Seneque qu'il preste un peu à la tyrannie des Empereurs de son temps, car je tiens pour certain que c'est d'un jugement forcé qu'il condamne la cause de ces généreux meurtriers de Csesar; Plutarque est libre par tout.þ
ÇáÕÝÍÉ 304 - Peuple français, peuple de frères, Peux-tu voir, sans frémir d'horreur, Le crime arborer les bannières Du carnage et de la Terreur!þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - AINSI, quand l'aigle du tonnerre Enlevait Ganymède aux cieux, L'enfant, s'attachant à la terre, Luttait contre l'oiseau des dieux; Mais entre ses serres rapides L'aigle pressant ses flancs timides, L'arrachait aux champs paternels; Et, sourd à la voix qui l'implore, II le jetait, tremblant encore, Jusques aux pieds des immortels. Ainsi quand tu fonds sur mon âme, Enthousiasme, aigle vainqueur, Au bruit de tes ailes de flamme Je frémis d'une sainte horreur; Je me débats sous ta puissance...þ