Crime et misère, en lui, qui se donnent la main; La douleur ici-bas, et point de lendemain. Oh! ma croyance, ami, que n'est-elle la tienne! Que n'as-tu, comme moi, l'espoir qui te soutienne, Qui te montre la vie en germe dans la mort, Le mal à se détruire épuisant son effort! Dans la confuse nuit où l'orage nous laisse, Que ne découvres-tu l'Étoile de promesse, Qui ramène l'errant vers le bercail chéri! Alors, ami blessé, ton cœur serait guéri; Chaque vivant objet, que la trame déploie, Te rendrait un écho d'harmonie et de joie; Et soumis, adorant, tu sentirais partout Dieu présent et visible, et tout entier dans tout! FIN DU TOME QUATRIÈME. |