| Juan Antonio Llorente - 1817 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 568
...cherchaient ? A quoi elle répondit, que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la dislance de trois lieues, et qu'il l'avait laissée dans le...sorcières , elles furent livrées à l'Inquisition d'Estella ; et ni l'onguent, ni le diable ne purent leur donner des ailes pour éviter le châtiment... | |
| Juan Antonio Llorente - 1818 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 572
...n'avait pas volé assez loin pour échapper à ceux qui la cherchaient ; à quoi elle répondit que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la distance...sorcières, elles furent livrées à l'Inquisition d'Estella; et ni l'onguent ni le diable ne purent leur donner des ailes pour éviter le châtiment... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1818 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 862
...n'avait pas volé assez loin pour échapper à ceux qui la cherchaient ? A quoi elle répondit , que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la distance...dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. Le juge ordinaire, ayant prononcé surl'aflaire des cent cinquante sorcières , elles furent livrées... | |
| Leonard Joseph Urbain Napoléon Gallors - 1823 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 432
...n'avait pas volé assez loin , pour échapper à ceux qui la cherchaient. A quoi elle répondit que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la distance...dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. » Cette expérience ayant convaincu le commissaire que cette malheureuse était réellement une sorcière... | |
| Juan Antonio LLORENTE - 1838 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 316
...n'avait pas volé assez loin pour échapper à ceux qui la cherchaient. A quoi elle répondit que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la distance...dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. » Cette expérience ayant convaincu le commissaire que cette malheureuse était réellement une sorcière,... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1844 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 672
...vait pas volé assez loin pour échappe, à ceux qui la cherchaient. A quoi elle répondit que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la distance...dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. — Le juge ordinaire ayant prononcé sur l'affaire des cent cinquante sorcières, ni l'onguent ni... | |
| Jacques Albin S. Collin de Plancy - 1844 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 616
...échappe, à ceux qui la cherchaient. A quoi elle répondit que son maître n'avait voulu la transponier qu'à la distance de trois lieues, et qu'il l'avait...dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. — Le juge ordinaire ayant prononcé sur l'affaire des cent cinquante sorcières , ni l'onguent ni... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy, Jacques-Paul Migne - 1848 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 604
...cberihai<-al. A quui elle répondit que sou maître n'avait voulu la transporter qu'à la dislance de trois lieues, et qu'il l'avait laissée dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. Ce récit singulier, dû pourtant à un écrilain grave, n est pas facile à expliquer. Le ju.'e ordinaire... | |
| Félix d'Amoreux Saint-Félix (called Jules de) - 1854 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 592
...n'avait pas volé assez loin pour échapper à ceux qui la cherchaient. A quoi elle répondit, que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la distance...dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. » Nous avons, on le voit, traversé déjà dans cette histoire, bien des récits étranges, évoqué... | |
| Jacques-Albin-Simon Collin de Plancy - 1860 - ÚÏÏ ÇáÕÝÍÇÊ: 604
...cherthaï, ni. A quoi elle répondit que son maître n'avait voulu la transporter qu'à la dislance de trois lieues , et qu'il l'avait laissée dans le champ où les bergers l'avaient rencontrée. Ce récit singulier, dû pourtant à un écrivain grave , n est pas facile à expliquer. Le .'ii-'e... | |
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