HISTOIRE DE FRANCE

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ÇáÕÝÍÉ 346 - Bretagne des conséquences favorables à la France : les Bretons, qui n'avaient rompu avec la couronne qu'à contre-cœur, ne songèrent plus qu'à faire leur paix avec le nouveau roi, et le duc Jean de Montfort lui-même, quand il apprit la mort du roi son ennemi, dit à ceux qui étaient près de lui : « Pardie ! la rancune et haine que j'avois au royaume de France, pour cause de ce roi Charles qui est mort, est bien affoiblie de la moitié. Tel a haï le père, qui aimera le fils, et tel a guerroyé...þ
ÇáÕÝÍÉ 233 - Bretagne ne suffisait pas. Quelques-uns d'entre eux passèrent dans cette province ; mais la plupart restèrent en France, se rallièrent sous de nouveaux chefs, et recommencèrent une guerre sans prétexte, sans drapeau, où le brigandage s'avouait de lui-même dans toute sa féroce impudence. Un des capitaines se faisait appeler « l'ami de Dieu et l'ennemi de tout le monde » (Froissart). Des bandes de Bretons et de Gascons se mirent à ravager le pays entre Paris et Orléans ; ces Bretons étaient...þ
ÇáÕÝÍÉ 566 - ... à garder les forteresses de Meaulz et de Monstereau, qui tiennent les rivières de Saine, de Marne et d'Yonne, desquelles vostre bonne ville de Paris doit estre nourrie et soustenue, que tant amés...þ
ÇáÕÝÍÉ 194 - ... pendant que le seigneur, du haut de son manoir bien fortifié, bien approvisionné, regarde tranquillement brûler la cabane du paysan, sans daigner envoyer un carreau d'arbalète aux brigands, bons gentilshommes pour la plupart et ses cousins peut-être. Jacques Bonhomme, après avoir vu sa fille outragée, son fils massacré, sort affamé et sanglant des ruines de sa chaumière. Le 28 mai, plusieurs «menues gens...þ
ÇáÕÝÍÉ 146 - Rouen, où la mort d'Harcourt, qui était fort aimé du peuple, excitait une grande fermentation i : il l'envoya d'abord au Château-Gaillard, puis à la Tour du Louvre, d'où on le transféra aux prisons du Châtelet. « On lui fit là moult de malaises et de peurs ; car, tous les jours et toutes les nuits, par cinq ou six fois, lui...þ
ÇáÕÝÍÉ 373 - Bonnes gens, vous véez (voyez) bien à votre département quelle chose vous laissiez derrière ;n'ayez nulle espérance de retourner si ce n'est à votre honneur; car vous ne trouverez rien ; et sitôt que orrons (entendrons) nouvelles si vous êtes morts ou déconfits, nous bouterons le feu en la ville et nous détruirons nous-mêmes ainsi que gens désespérés.þ
ÇáÕÝÍÉ 57 - INDEPENDANT, et la fête attendant, ilse partit deNantes à (avec) grand' foison de gens d'armes, et s'en alla vers la bonne cité de Limoges ; car il savoit et étoit informé que le grand trésor que le duc son frère avoit amassé de long temps étoit là enfermé. Quand il vint là, il entra en la...þ
ÇáÕÝÍÉ 78 - En après, je vous ai gouvernés en si grand'paix, que vous avez eu , du temps de mon gouvernement, toutes choses à volonté, blés, laines, avoir, et toutes marchandises, dont vous êtes recouvrés et en bon point.þ
ÇáÕÝÍÉ 162 - Que monseigneur le duc élise, par le conseil des Trois États, aucuns grands, sages et notables du clergé, des nobles et bourgeois, anciens, loyaux et mûrs, qui continuellement près de lui soient et par qui il se conseille. « Que les dons qui ont été faits aux dépens du domaine royal, depuis le temps de Philippe le Bel, soient revisés, et qu'on révoque ceux qui auraient été sans justes causes.þ
ÇáÕÝÍÉ 41 - Rbin ; l'empereur tenait de la main droite le sceptre, et de la gauche le globe, emblème de l'empire du monde, et un chevalier allemand élevait une épée nue audessus de sa tête . Un clerc lut les constitutions par lesquelles la diète de Francfort venait de revendiquer l'indépendance de la couronne impériale contre les prétentions des papes; puis...þ

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