Mémoires de Bailly: avec une notice sur sa vie, des notes ...Baudouin frères, 1821 |
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17 juillet 23 juin annoncé arrêté assemblée Assemblée nationale aurait avaient bailliages Bailly Bastille blée bureau c'était cahiers chambre Champ-de-Mars citoyens clergé comité commettans commissaires comte d'Artois conférences constitution Courrier de Provence décidé déclaration délibération demander députés des communes devait devoir différens discours districts doyen électeurs esprits états-généraux eût fallait Fayette Flesselles force fût garde garde nationale garde-des-sceaux gardes-françaises général heures hommes j'ai j'avais Jean-Sylvain Bailly jour juin l'abbé Sieyes l'archevêque l'arrêté l'As l'Assem l'Assemblée nationale l'Hôtel-de-Ville l'ordre lettre liberté Majesté matin membres ment Messieurs ministres Mirabeau motion n'avait n'était nation Necker noblesse nommé Note des nouv observé ordres parler passé pensait peuple pluralité porte pouvait pré premier présente président principes procès-verbal proposé proposition public publique rendre réponse représentans réunion réunis révolution royaume s'était salle scrutin séance royale semblée sentimens serait seul soir suivant sur-le-champ Target tiers-état tion toyens troupes vérification des pouvoirs Versailles voix voulait
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ÇáÕÝÍÉ 212 - nir de ses sujets qu'ils s'entendent enfin pour » accepter ses bienfaits. » Je vous ordonne , Messieurs , de vous séparer » tout de suite, et de vous rendre demain matin , » chacun dans les chambres affectées à votre ordre, » pour y reprendre vos séances. J'ordonne en con» séquence au grand-maître des cérémonies de þ
ÇáÕÝÍÉ 464 - Vous venez, Messieurs, d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si, par une fatalité loin de ma pensée , vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul je ferai le bien de mes peuples ; jeþ
ÇáÕÝÍÉ 211 - général de la nation , et mes intentions bienfai» santés, j'aurai toute la confiance que doit inspirer » une si rare harmonie ; je marcherai vers le but » auquel je veux atteindre , avec tout le courage » et la fermeté qu'il doit m'inspirer. » Réfléchissez, Messieurs, qu'aucun de vos pro» jets, aucune de vos dispositions ne peut avoirþ
ÇáÕÝÍÉ 464 - considérerai comme leur véritable représentant; et connaissant vos cahiers, connaissant L'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de la nation et mes intentions bienfaisantes , j'aurai toute la confiance que doit inspirer une si rare harmonie, et je marcherai vers le but auquel je veux atteindre, avec tout le courage et la fermeté qu'il doit m'inspirer. þ
ÇáÕÝÍÉ 448 - les députés librement élus par chacun des trois ordres , formant trois chambres , délibérant par ordre , et pouvant, avec l'approbation du souverain , convenir de délibérer en commun , puissent seuls être considérés comme formant le corps des représentons de la nation. En conséquence , le roi a déclaré nulles les délibérations prises par les députés deþ
ÇáÕÝÍÉ 309 - publique ; ce sont ces motifs qui m'ont engagé » à faire un rassemblement de troupes autour de » Paris. Vous pouvez assurer l'Assemblée des » états-généraux qu'elles ne sont destinées qu'à » réprimer, ou plutôt à prévenir de nouveaux » désordres, à maintenir le bon ordre et l'exer» cice des lois, à assurer et protéger même la liþ
ÇáÕÝÍÉ 211 - force de loi sans mon approbation spéciale. » Ainsi, je suis le garant naturel de vos droits res» pectifs, et tous les ordres de l'État peuvent se » reposer sur mon équitable impartialité. Toute » défiance de votre part serait une grande injustice. » C'est moi jusqu'à présent qui fais tout pour le » bonheur de mes peuples , et il est rareþ
ÇáÕÝÍÉ 450 - constitutionnels des trois ordres , la forme de constitution à donner aux prochains états-généraux , les propriétés féodales et seigneuriales , les droits utiles et les prérogatives honorifiques des deux premiers ordres. : IX. Le consentement particulier du clergé sera nécessaire pour toutes les dispositions qui pourraient intéresser la religion , laþ
ÇáÕÝÍÉ 463 - mais en revanche, • l'intention formelle de conserver les lettres de cachet avec de vaines modifications. Enfin le roi se déclare l'arbitre de ce qui est propriété ou de ce qui ne l'est point, indépendamment de la nature des choses. « Sa Majesté comprend expressément sous le nom de « propriétés, les dîmes, cens, rentes,þ
ÇáÕÝÍÉ 300 - dans Paris , et avoir admiré cet empire : « Nous vous tromperions , Sire , si nous » n'ajoutions pas , forcés par les circonstances, cet » empire est le seul qu'il soit aujourd'hui possible » en France d'exercer. La France ne souffrira pas » qu'on abuse le meilleur des rois, et qu'on l'écarté, ( i ) Voir la note précédente.þ