... doute pour orner le tombeau où me conduira la mort prématurée qu'il me ménage. Il ne fauroit que dire , s'il n'avoit à m'apprendre qu'il a pleuré toute la nuit. Lettres grecques, par le rhéteur Alciphron: Les courtisannes - الصفحة 288 بواسطة Alciphron - 1785 عرض كامل -
|