Collection des mémoires relatifs à la révolution française ... |
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affaires arrêté arriva assez aurait avaient ayant baron Bourbon c'était Calonne caractère cardinal Castries cause charge chercher chose comité commandement compte comte d'Artois conduite connaissance conseil conséquence considération coup cour crédit d'Adhémar d'ailleurs d'être demander démarche dernier déterminer devait dire donner employé Enfin eût facilité faisait fallait ferait fond force forme fort fût garde général gens guerre homme idée j'ai j'avais jouer jours juger l'archevêque l'avait laisser Lamoignon lettre lieu madame de Polignac main manière manquer maréchal maréchal de Ségur Maurepas ment mettre mieux militaire ministre monde montrer moyen n'avait n'en n'était nécessaire nommé notables objet ordre parlement passé pendant penser personne peut-être place porter pouvait premier prince pris projet propos public qu'à qu'en qu'un raison reine rendait répondit reste rien s'en s'était s'il Ségur sentiment serait service servir seul sortir suite surtout tenir tête tion troupes trouvai venait vérité Versailles voulait voyait
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ÇáÕÝÍÉ 173 - Lamotte, condamnée à faire amende honorable, la corde au cou, à être fouettée et marquée sur les deux épaules, et mise à l'Hôpital pour le reste de ses jours; M. de Lamotte , absent, condamné par contumace aux mêmes peines que sa femme ; M. Villette , banni à perpétuité ; M.þ
ÇáÕÝÍÉ 74 - J'ai ôté ceux de M. le comte d'Artois , et M. de Vibraye ceux de M. le duc de Bourbon : service qui a pensé lui coûter cher; car, en se relevant, il s'est attrapé sous l'œil, à la pointe de l'épée de M. le duc de Bourbon, qu'il avait, comme je l'ai dit, sous son bras.þ
ÇáÕÝÍÉ 74 - Sur cela, chacun a mis son épée nue sous son bras, et les deux princes ont marché l'un à côté de l'autre, en causant ensemble, moi suivant M.þ
ÇáÕÝÍÉ 259 - Alors se retournant vers la reine : « Madame, lui dit-il, sans demander à votre majesté une décision qui ne peut être douteuse , il me suffit qu'elle me montre quelque désir que je remette une place que je tiens de ses bontés , pour que je la lui rende ; et voilà ma démission. » La reine la prit, en louant beaucoup sa noblesse et son honnêteté; ce qui ne le dédommagea pas...þ
ÇáÕÝÍÉ 368 - Je voulus connaître ce dépôt d'armes; et M. de Sombreuil me conduisit dans le souterrain qui les renfermait. Il me dit que dès la veille, effrayé de l'usage qu'on pouvait en faire , il avait imaginé de faire retirer des fusils les chiens et les baguettes; mais qu'en six heures , vingt invalides , qu'il avait employés à cet ouvrage, n'avaient désarmé que vingt fusils; qu'un esprit 'séditieux régnait dans cette maison ; que depuis dix jours l'argent remplissait les poches des soldats; qu'un...þ
ÇáÕÝÍÉ 272 - ... à lui communiquer toutes les affaires importantes avant de les traiter avec lui. Cette détermination du roi, surtout pour un homme contre lequel il avait eu les plus fortes préventions, était une marque bien authentique du pouvoir de la reine, disons mieux, du crédit de l'abbé de Vermont sur cette princesse; car c'était l'instrument dont se servait l'archevêque auprès d'elle pour la diriger , suivant ce qui lui convenait. On ne peut nier que dans les circonstances actuelles, qui demandaient...þ
ÇáÕÝÍÉ 232 - ... qu'on dit être de lui, quoique cela fût très-faux, qui d'abord eut un grand succès, et qui bientôt fut critiqué. La reine était à une fenêtre du château, dans une grande impatience d'apprendre des nouvelles de la séance. Du plus loin que Monsieur, qui était dans le carrosse du roi, pût en être aperçu, battant des mains, il fit comprendre que tout avait été au mieux : ce qui lui causa une telle joie, que tout le reste de la journée elle combla de caresses tous les notables qu'elle...þ
ÇáÕÝÍÉ 43 - Guémené s'attacha à madame Dillon, fille de madame R*** , à laquelle elle ressemblait parfaitement. Madame Dillon était grande et bien faite, quoiqu'un peu maigre. Elle avait un joli teint, un visage charmant, sur lequel était peinte la douceur de son âme , comme elle l'était dans le son de sa voix. Je ne l'ai pas assez connue pour définir son caractère, qui m'a paru, dans le peu que je l'ai vue, plus attrayant que piquant, et entièrement opposé à celui de sa mère. L'attachement de...þ
ÇáÕÝÍÉ 343 - Dijon, forcé par sa compagnie de rompre ce mariage, et menacé , par haine et par vengeance contre M. de Lamoignon , d'en être chassé s'il le consommait. De telles considérations ne sont seulement pas aperçues par un public préoccupé de la seule idée de trouver des torts à la cour, et de s'élever contre elle. La retraite de M. de Lamoignon ouvrit un vaste champ à la joie tumultueuse de la basoche et de la populace salariée par le parlement ; elle brûla l'effigie de l'archevêque de Sens...þ
ÇáÕÝÍÉ 233 - Il était extraordinaire, a écrit un contemporain, de voir le roi prêt à faire banqueroute dans un instant où la France était si florissante, la population au degré le plus désirable, l'agriculture et l'industrie poussées à leur comble et Paris regorgeant d'argent.þ