Œuvres, ÇáãÌáÏÇÊ 5-6 |
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ØÈÚÇÊ ÃÎÑì - ÚÑÖ ÌãíÚ ÇáãÞÊØÝÇÊ
ÚÈÇÑÇÊ æãÕØáÍÇÊ ãÃáæÝÉ
appelle arrive assez aurait avant cause cesse cher CHEVALIER chose citer commun COMTE connaissance contraire coupable crime croire crois demander devant Dieu dire disait divine dogme doit donner doute écrit effet enfin esprit exemple fond force forme général génie genre Grecs guerre homme humain Ibid idées innées j'ai jour juger juste l'autre l'esprit l'homme l'un laisse langue lettre lieu livre Locke lois lui-même main malheur manière ment mille monde morale mort mots n'en nation nature naturelle nécessaire nombre observer Page parler parole passer peine pensée père personne peut-être philosophie physique place porte pourrait pouvait premier présente prie prier prière puissance qu'à qu'en qu'un question raison reste rien s'en s'est s'il saint sais sait saurait savoir science semble SÉNATEUR sens sentiment serait seulement siècle simple sortes souvent suivant sujet surtout terre tion trait trouve vérité vertu voilà volonté voulez voyez vrai
ãÞÇØÚ ãÔåæÑÉ
ÇáÕÝÍÉ 198 - ... c'est en lui que nous avons la vie, le mouvement et l'être; et, comme quelques-uns de vos poetes ont dit, nous sommes même les enfauts et la race de Dieu.þ
ÇáÕÝÍÉ 30 - C'est l'homme qui est chargé d'égorger l'homme. Mais comment pourra-t-il accomplir la loi, lui qui est un être moral et miséricordieux ; lui qui est né pour aimer ; lui qui pleure sur les autres comme sur lui-même, qui trouve du plaisir à pleurer, et qui finit par inventer des fictions pour se faire pleurer; lui enfin à qui il a été déclaré qu'on redemandera jusqu'à la dernière goutte du sang qu'il aura versé injustement 1 ? c'est la guerre qui accomplira le décret.þ
ÇáÕÝÍÉ 203 - On l'accueille, on lui rit; partout il s'insinue ; Et s'il est par la brigue un rang à disputer, Sur le plus honnête homme on le voit l'emporter.þ
ÇáÕÝÍÉ 30 - N'entendezvous pas la terre qui crie et demande du sang ? Le sang des animaux ne lui suffit pas , ni même celui des coupables versé par le glaive des lois. Si la justice humaine les frappait tous , il n'y aurait point de guerre ; mais elle ne saurait en atteindre qu'un petit nombre , et souvent même elle les épargne , sans se...þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - On lui jette un empoisonneur, un parricide, un sacrilège ; il le saisit, il. l'étend, il le lie sur une croix horizontale, il lève le bras. Alors, il se fait un silence horrible, et l'on n'entend plus que le cri des os qui éclatent sous la barre et les hurlements de la victime. Il la détache, il la porte sur une roue ; les membres fracassés s'enlacent dans les rayons; la tête pend; les cheveux se hérissent...þ
ÇáÕÝÍÉ 344 - Furieuse, elle vole, et, sur l'autel prochain, Prend le sacré couteau, le plonge dans son sein. A peine son sang coule et fait rougir la terre, Les dieux font sur l'autel entendre le tonnerre; Les vents agitent l'air d'heureux frémissements, Et...þ
ÇáÕÝÍÉ 56 - Psaumes sont une véritable préparation évangélique; car nulle part l'esprit de la prière, qui est celui de Dieu, n'est plus visible, et de toutes parts on y lit les promesses de tout ce que nous possédons. Le premier caractère de ces hymnes, c'est qu'elles prient toujours. Lors même que le sujet d'un psaume paraît absolument...þ
ÇáÕÝÍÉ 203 - N'imposent qu'à des gens qui ne sont point d'ici. On sait que ce pied-plat, digne qu'on le confonde Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu. Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne : Nommez-le fourbe, infâme, et scélérat maudit.þ
ÇáÕÝÍÉ 111 - Dieu nous a donné le nombre, et c'est par le nombre qu'il se prouve à nous, comme c'est par le nombre que l'homme se prouve à son semblable. Otez le nombre vous ôtez les arts, les sciences, la parole et par conséquent l'intelligence. Ramenez-le : avec lui reparaissent ses deux filles célestes, l'harmonie et la beauté ; le cri devient chant, le bruit reçoit le rliythme, le saut est danse, la force s'appelle dynamique, et les traces sont des figures.þ
ÇáÕÝÍÉ 40 - ... le bras : alors il se fait un silence horrible, et l'on n'entend plus que le cri des os qui éclatent sous la -barre , et les hurlements de la victime. Il la détache; il la porte sur une roue : les membres fracassés s'enlacent dans les rayons ; la tête pend ; les cheveux se...þ