Les origines du socialisme contemporainG. Baillière & cie, 1883 - 169 من الصفحات |
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2e édit aboli appelait avaient Babeuf BAILLIÈRE ET Cie BIBLIOTHÈQUE DE PHILOSOPHIE Bodson Bouche de fer Brissot Buonarotti c'était Cercle social chose citoyens classes clergé Clootz club comité communauté communisme conséquence conspiration Convention Darthé déclaration décrets décrets de ventôse devait Directoire disait-il discours doctrine ecclésiastiques Édouard Fleury enfin fief fonds gouvernement Grisel Henri Doniol HERBERT SPENCER hommes idées jacobins journal l'abbé Fauchet l'abbé Maury l'abolition l'ancien régime l'assemblée Constituante l'égalité l'État l'histoire l'inégalité l'Institut Professeur législateur liberté LIBRAIRIE GERMER BAILLIÈRE loi agraire lois Louis Blanc lution Mably mainmorte Malouet Marat ment Merlin mesures Mirabeau morale Morelly n'était nation ORIGINES DU SOCIALISME partage PAUL JANET Membre pauvres pendant la Révolution PHILOSOPHIE CONTEMPORAINE Platon politique premier priétaire priété principe propriété individuelle question rachat régime féodal révo révolution française révolutionnaire riches Robespierre Rousseau seigneur serait service seul socia SOCIALISME CONTEMPORAIN société subsistance Sylvain Maréchal système terre théorie tion travail vassal
مقاطع مشهورة
الصفحة 93 - Sous les mauvais gouvernements, cette égalité n'est qu'apparente et illusoire; elle ne sert qu'à maintenir le pauvre dans sa misère, et le riche dans son usurpation. Dans le fait, les lois sont toujours utiles à ceux qui possèdent, et nuisibles à ceux qui n'ont rien : d'où il suit que l'état social n'est avantageux aux hommes qu'autant qu'ils ont tous quelque chose , et qu'aucun d'eux n'a rien de trop.
الصفحة 57 - Dans tout pays où les droits du peuple ne sont pas de vains titres consignés fastueusement dans une simple déclaration, le pillage de quelques magasins, à la porte desquels on...
الصفحة 3 - Puisque les fondations, toujours multipliées par la vanité, absorberaient à la longue tous les fonds et toutes les propriétés particulières, il faut bien qu'on puisse à la fin les détruire. Si tous les hommes qui ont vécu avaient eu un tombeau. il aurait bien fallu, pour trouver des terres à cultiver. renverser ces monuments stériles, et remuer les cendres des morts pour nourrir les vivants.
الصفحة 91 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire Ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
الصفحة 119 - ... l'administration commune ; de supprimer la propriété particulière ; d'attacher chaque homme au talent, à l'industrie qu'il connaît ; de l'obliger à en déposer le fruit en nature au magasin commun ; et d'établir une simple administration de distribution...
الصفحة 92 - ... ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire , fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
الصفحة 91 - Ce chien est à moi , disaient ces pauvres enfants ; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
الصفحة 10 - Qu'ai-je donc, messieurs, voulu montrer ? Une seule chose : c'est qu'il est et qu'il doit être de principe que toute nation est seule et véritable propriétaire des biens de son clergé. Je ne vous ai demandé que de consacrer ce principe, parce que ce sont les erreurs ou les vérités qui perdent ou qui sauvent les nations.
الصفحة 71 - Les enfants sont vêtus de toile dans toutes les saisons. Ils couchent sur des nattes et dorment huit heures. Ils sont nourris en commun et ne vivent que de racines, de fruits, de légumes, de laitage, de pain et d'eau.