Collection des mémoires relatifs à l'histoire de France: ... [sér. 1] t. 1-52, 1819-26; [sér. 2] t. 1-78, 1820-29

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Claude Bernard Petitot, Alexandre Petitot, Louis-Jean-Nicolas Monmerqué
Foucault, 1823
 

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ÇáÕÝÍÉ 295 - capables de leur rendre plutôt hommage de leur vie qu'à votre Majesté, qui seroit le vrai et seul auteur de leur grâce. « Il est question de couper la gorge aux duels, ou aux édits de votre Majesté. « La punition de ces messieurs sera un moyen convenable, quoique non infaillible, pour le premier effet,þ
ÇáÕÝÍÉ 305 - de cette princesse, le Roi fit arrêter un nommé Fancan pour lui faire expier une partie des crimes qu'il avoit commis. De tout temps il s'étoit déclaré , plus ouvertement que ne pouvoit un homme sage, ennemi du temps présent ; rien ne le contentoit que des espérances imaginaires d'une république, qu'il formoit selon leþ
ÇáÕÝÍÉ 4 - coutumée, on porta les huguenots à consentir à la paix de peur de celle d'Espagne, et les Espagnols à faire la paix de peur de celle des huguenots. En cela on peut voir clairement combien un bon conseil, donné à propos, produitþ
ÇáÕÝÍÉ 27 - et empêche la conversion des princes infidèles et hérétiques ; trouble la paix publique, renverse les États, royaumes et républiques, détourne les sujets de l'obéissance qu'ils doivent à leurs souverains , et les induit à des factions, rébellions et séditions, et à attenter à la vie de leurs princes. Cette censure fut faite leþ
ÇáÕÝÍÉ 95 - juillet, voir le cardinal en l'évêché de Nantes où il étoit logé, et après lui avoir fait plusieurs protestations de vouloir honorer et obéir à la Reine sa mère, lui dit que c'étoit maintenant tout de bon ; qu'il étoit vrai que celle qu'il avoit faite par le passé n'avoit été que pour gagner du temps , etþ
ÇáÕÝÍÉ 305 - mauvaises, et les moyens dont il se servoit pour y parvenir , détestables et méchans ; il n'y avoit point d'injuste et cruelle imagination propre à changer l'état des affaires, qui ne lui passât une fois le jour en son esprit. Son exercice ordinaire étoit de composer des libelles pour décrier le gouvernement; de rendre la personne du prince contemptible, les conseils odieuxþ
ÇáÕÝÍÉ 17 - ne recevroient aucun trouble ni empêchement en la sûreté et liberté du commerce qu'ils voudraient faire, suivant les lois, ordonnances et coutumes du royaume, non plus qu'en la jouissance des biens et perception des fruits qu'ils ont dans lesdites îles. Il est bien juste de s'arrêter un peu ici àþ
ÇáÕÝÍÉ 242 - ensuite du livre de Santarel, Sa Majesté fit défense, par ledit arrêt, de composer, traiter ni disputer de l'affirmative ou négative des propositions concernant le pouvoir et l'autorité souveraine de Sa Majesté et des autres rois et souverains, sans expresse permission de Sa Majesté par ses lettres-patentes en commandement , à peine d'être punis comme séditieux et perturbateurs du repos public. maisþ
ÇáÕÝÍÉ 11 - faite de la part des deux rois ensemble, et que les peines qui seroient imposées aux contraventions qui pourroient arriver de la part des Grisons, n'allassent pas jusqu'à la privation de leur souveraineté sur la Valteline, parce qu'il se feroit toujours en cela de la fraude de la part du roi d'Espagne ; mais qu'ilþ
ÇáÕÝÍÉ 359 - les meilleures forces pour secourir une citadelle que les hommes tenoient à demi perdue, faire une descente en une île assiégée par une grande armée navale, mettre au hasard la meilleure partie de l'armée à la merci des vents et des vagues de la mer , des canons et vaisseaux anglais, où l'on neþ

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