Paroles d'un croyant, 1833

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Pagnerre, 1838 - 191 ãä ÇáÕÝÍÇÊ
 

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ÇáÕÝÍÉ 60 - Et celui-ci vivait tranquille, tandis que le premier ne goûtait pas un instant de repos ni de joie intérieurement. Un jour qu'il travaillait aux champs, triste et abattu à cause de sa crainte, il vit quelques oiseaux entrer dans un buisson, en sortir, et puis bientôt y revenir encore. Et, s'étant approché, il vit deux nids posés côte à côte, et dans chacun plusieurs petits nouvellement éclos et encore sans plumes.þ
ÇáÕÝÍÉ 94 - ... implique l'égalité d'amour, et que l'égalité d'amour peut seule réaliser l'unité humaine dans laquelle s'accomplit le progrès continu ou l'union toujours plus intime avec le principe...þ
ÇáÕÝÍÉ 87 - En ce jour-là, il y aura de grandes terreurs et des cris tels qu'on n'en a point entendus depuis les jours du déluge. « Les rois hurleront sur leurs trônes; ils chercheront à retenir avec les deux mains leurs couronnes emportées par les vents, et ils seront balayés avec elles.þ
ÇáÕÝÍÉ 119 - Pierre sur laquelle l'Eglise est fondée. Vous devez donc travailler et veiller sans cesse à conserver le dépôt de la foi au milieu de cette conspiration d'impies que nous voyons avec douleur avoir pour objet de le ravager, et de le perdre. Que tous se souviennent que le jugement sur la saine doctrine dont les peuples doivent être instruits et le gouvernement de toute l'Église...þ
ÇáÕÝÍÉ 91 - Ayant dit ces mots, elle se tut un peu de temps ; ensuite elle reprit : " Quand je perdis votre père, ce fut une douleur que je crus sans consolation : cependant vous me restiez ; mais je ne sentais qu'une chose alors. Depuis, j'ai pensé que s'il vivait et qu'il nous vît en cette détresse, son âme se briserait ; et j'ai reconnu que Dieu avait été bon envers lui.þ
ÇáÕÝÍÉ 54 - Vous dites que vous aimez, et il ya, en grand nombre, des malades qui languissent, privés de secours, sur leur pauvre couche, des malheureux qui pleurent sans que personne pleure avec eux, des petits enfants qui s'en vont, tout transis de froid, de porte en porte demander aux riches une miette de leur table, et qui ne l'obtiennent pas.þ
ÇáÕÝÍÉ 65 - ... d'entre les derniers de vos enfants, qu'on accuse d'être rebelles à votre infaillible et douce autorité. Les voilà devant vous, lisez dans leur âme; il ne s'y trouve rien qu'ils veuillent cacher. Si une de leurs pensées, une seule s'éloigne des vôtres, ils la désavouent , ils l'abjurent.þ
ÇáÕÝÍÉ 141 - ... vas-tu? Je vais combattre pour la justice, pour la sainte cause des peuples, pour les droits sacrés du genre humain. Que tes armes soient bénies, jeune soldat! Jeune soldat, où vas-tu? Je vais combattre pour délivrer mes frères de l'oppression, pour briser leurs chaînes et les chaînes du monde.þ
ÇáÕÝÍÉ 16 - Tandis que vous serez désunis, et que chacun ne songera qu'à soi, vous n'avez rien à espérer que souffrance, et malheur, et oppression. Qu'y at-il de plus faible que le passereau, et de plus désarmé que l'hirondelle ? Cependant quand paraît l'oiseau de proie, les hirondelles et les passereaux parviennent à le chasser, en se rassemblant autour de lui, et le poursuivant tous ensemble. Prenez exemple sur le passereau et sur l'hirondelle. Celui qui se sépare de ses frères, la crainte le suit...þ

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